Sophrologie et dépression  

La sophrologie complément thérapeutique dans le traitement de la dépression

 

Qu’est-ce que la dépression ?

Selon l’OMS (organisation mondiale de la santé), la dépression constitue un trouble mental courant, caractérisé par de la tristesse, perte d’intérêt ou de plaisir, des sentiments de culpabilité, faible estime de soi, des troubles du sommeil ou de l’appétit, d’une sensation de fatigue et d’un manque de concentration. De longue durée ou récurrente, elle porte atteinte à la personne à gérer ses situations de la vie quotidienne. Elle nécessite la consultation d’un médecin.

Les origines de la dépression

Touchant une personne sur cinq, la dépression  génère une grande détresse émotionnelle interférant la vie de la personne atteinte au quotidien.  Les symptômes varient d’une personne à une autre. La dépression peut toucher toutes tranches d’âge.

La plupart  d’entre elles apparaissent en réaction à des changements, des pertes survenues au cours de l’existence : accident de la vie, séparation, rupture, deuil, perte d’emploi, précarité.

Les traumatismes de la petite enfance (troubles de l’attachement, dépression maternelle, ruptures des liens précoces) sont également des causes fréquentes.

La maladie  physique peut créer un état dépressif inhérent à une souffrance chronique, grave maladie.

Les symptômes de la dépression

La dépression peut s’accompagner d’inhibition psychomotrice et d’une anxiété majeure, de troubles somatiques ou du caractère. De façon générale la personne se sent triste, fatiguée, lasse. Elle ressent une sorte d’apathie se caractérisant par un repli sur soi, manque de motivation, la vie semble dénuée d’intérêt et de sens. La projection vers le  futur est plutôt sombre.

Il existe plusieurs sortes de dépression mais toutes ont en commun la persistance d’un état mélancolique.

La sophrologie, un accompagnement efficace participant au mieux-être

Du traitement spécialisé aux différentes méthodes de psychothérapie, de relaxation, il importe de trouver la thérapeutique la plus adaptée.

En complément d’un suivi médical, la sophrologie constitue un accompagnement efficace susceptible de participer au mieux-être.

Définition de la sophrologie caycédienne : entraînement du corps et de l’esprit pour développer un mieux-être, une sérénité grâce à des techniques de relaxation-activation du corps-esprit favorisant l’observation, la perception corporelle, la prise de conscience  afin de renforcer les structures et les attitudes positives de l’être.

L’anxiété souvent associée à la dépression se traduit par une respiration difficile, l’inhibition motrice se manifeste par un état de fatigue. Des signes qui indiquent que c’est dans le corps que la dépression se niche.

Dans ce cadre la sophrologie peut ainsi amener l’être à renouer avec son corps en tant que lieu de vie, y percevoir les sensations de bien-être vital.

Les techniques respiratoires sont très utiles pour stimuler l’organisme et éliminer les tensions et réduire les états d’anxiété.

Les techniques d’entraînement permettent d’accéder à un niveau de conscience propice au relâchement mental. Dans ce niveau de conscience entre veille et sommeil, grâce à un accompagnement basé sur techniques de relaxation profonde et de renforcement du positif, il est possible d’accompagner les êtres à ressentir  une profonde détente, améliorer leur qualité de sommeil stimuler leurs ressources afin de retrouver confiance et l’énergie nécessaire pour sortir de cette impasse.

SOPHROLOGIE ET CANCER

La sophrologie caycédienne :

un accompagnement précieux pour les personnes souffrant d’un cancer dès l’annonce du diagnostic jusqu’à la fin des traitements

La sophrologie caycédienne, qu’elle soit pratiquée en milieu hospitalier (de plus en plus de centres de soins intègrent désormais la sophrologie dans l’accompagnement des malades) ou en cabinet libéral, est un outil complémentaire aux autres soins supports (c’est-à-dire l’ensemble des soins et soutiens nécessaires aux personnes malades tout au long de la maladie conjointement aux traitements (chimiothérapie, radiothérapie).

Qu’est-ce que la sophrologie caycédienne ?

Définition: Cette technique psychocorporelle mise au point par le neuropsychiatre Alfredo Caycedo dans les années 60 est basée sur des techniques de relaxation dynamique, de respiration et d’activation du corps et de l’esprit. Ses objectifs sont de renforcer les attitudes positives de l’être au quotidien. Elle participe activement à la gestion du stress et des émotions.

Cette méthode s’inscrit dans une approche phénoménologique et accorde une place privilégiée à la « vivance », terme utilisé par Caycedo pour désigner le vécu pendant la séance, sans a priori, sans jugement.

La pratique régulière de la sophrologie caycédienne favorise la conscience de soi par la perception positive du corps et de l’esprit, des états émotionnels et des valeurs personnelles. Selon l’objectif choisi, aller à la découverte de la sérénité et mieux-être en relâchant  les tensions ou stimuler l’énergie en intensifiant les sensations de vitalité. Dans tous les cas les techniques apportent une transformation positive de l’attitude envers soi-même et envers les autres.

La sophrologie, un outil précieux pour accompagner les personnes atteintes d’un cancer face à la maladie ?

A l’annonce du diagnostic : les personnes sont souvent très affectées, effondrées, très affaiblies,  face à ce qu’elles viennent d’apprendre. A cela s’ajoute très vite la peur de l’avenir, la crainte des traitements, générant beaucoup d’anxiété et de stress.

Consulter un sophrologue à ce moment est particulièrement indiqué pour mettre en place un accompagnement personnalisé permettant d’améliorer la qualité de vie et de mobiliser les ressources personnelles pour gérer au mieux la maladie.

Avant une intervention chirurgicale : dans certains cas, traiter un cancer nécessite une intervention chirurgicale pouvant être une véritable épreuve pour les patients.

Programmer une séance de sophrologie va permettre de mieux

-        gérer le stress lié à l’opération, l’anesthésie

-       de visualiser le bon déroulement de l’intervention et sa phase de réveil

-       Mieux gérer la douleur post-opératoire

Après l’ablation d’un organe, mastectomie : l’acte chirurgical en lui-même est nécessaire pour amputer la partie malade. Mais pour le patient elle signifie transformation du corps. Associer le soin à l’amputation, la guérison possible à la mutilation peut générer sur un plan psychocorporel une confusion nécessitant une acceptation progressive et un travail de deuil (beaucoup de femmes sont confrontées à cette problématique lors d’une mastectomie par exemple : soigner le sein est lié à son amputation.  Accepter cette transformation du corps demande de faire le deuil de l’organe et de ce qu’il représente : symbole de la féminité, organe nourricier des enfants…).

La sophrologie pour accompagner les traitements et leurs effets secondaires :

La phase des traitements très éprouvante pour les personnes atteintes d’un cancer peut être mieux vécue grâce aux séances de sophrologie :

Le stress majore les effets secondaires des traitements et affaiblit le système immunitaire.

Pour mieux gérer les effets secondaires des traitements et garder le moral, la sophrologie représente une aide précieuse pour les personnes souffrant d’un cancer :

-       Pour réduire le stress et l’anxiété

-       Pour gérer la fatigue, les douleurs, acouphènes

-       Pour prendre du recul et changer la perception des traitements souvent envisagés comme lourds et toxiques par la personne atteinte.

-       Perte d’appétit et altération du goût, perte des cheveux …

 

En modifiant sa représentation des soins, la personne n’a plus l’impression de subir mais de mobiliser toutes ses forces dans un objectif de guérison. Avant une chimiothérapie ou une séance de radiothérapie, le sophrologue va installer la personne dans une bulle de bien-être grâce à un travail de visualisation. Au moment des soins, elle pourra recontacter toutes les sensations agréables vécues pendant la séance. Cela modifie considérablement la manière de vivre les soins.

Une autre technique de visualisation permet de visualiser les cellules saines, les protéger, faire en sorte que le traitement ne s’attaque qu’aux cellules malignes. Cette séance pratiquée à la maison, à l’hôpital pendant l’injection de chimiothérapie permet à la personne d’être active dans le traitement de sa maladie, plus forte, plus sereine.

La sophrologie pour remettre le corps en mouvement et en douceur

Dans le parcours de soins, les exercices de respiration et de relaxation dynamique permettent de remettre le corps, souvent malmené par les traitements, en mouvement à travers une approche douce et respectueuse des limites de chaque personne. Les bienfaits sont notables aussi bien sur le plan physique (détente, relaxation, apaisement) que psychologique (sérénité, confiance). Dans les moments de découragement, la sophrologie permet de restaurer l’envie de vivre pleinement, de garder la capacité à profiter des petits plaisirs de la vie et de continuer à faire des projets.

La sophrologie caycédienne peut être envisagée après la fin de traitements

Ainsi la sophrologie constitue une méthode d’accompagnement au quotidien dans la traversée de la maladie, mais aussi dans la vie quotidienne lorsque la personne a terminé ses traitements  afin qu’elle puisse retrouver un nouveau rythme de vie, se projeter dans le futur, consciente de la maladie qui s’éloigne et de sa relation nouvelle au corps transformé.

 La sophrologie caycédienne : sa pratique, les effets positifs

 Le sophrologue accompagne la personne, en créant l’alliance avec elle,  durant toute sa séance (environ 1h). Le programme est individuel et personnalisé. Les séances étant enregistrées, la personne peut librement s’entraîner à tout moment quand elle en ressent le besoin.

Avec les techniques de base, les personnes vont redécouvrir les sensations les plus simples avec un regard  nouveau, comme si c’était la première fois.

Ces techniques sont proposées en début  de séance pour inviter la personne à se concentrer  sur la forme et la présence des différentes parties de son corps. Alors que l’attention est souvent focalisée sur la zone douloureuse ou malade,  la conscience peut s’élargir à l’ensemble de la corporalité et intégrer des lieux de bien-être encore possible.

Les personnes atteintes évoquent souvent une première sensation de relaxation et de bien-être, si rare et précieux dans ce contexte de maladie grave. Le corps n’est pas seulement souffrant, mais il peut être vécu aussi dans sa partie saine et devenir un corps plaisir, corps apaisé. C’est un nouveau regard qui peut alors se porter sur la corporalité.

Les techniques de respiration diaphragmatique pausée renforcent cet état de détente en tranquillisant les  pensées et les émotions. Le sophro-déplacement du négatif très efficace pour défaire les tensions physiques et émotionnelles.

La sophrologie propose une plongée dans les ressources propres de la personne, sa respiration, mobilisée dans un état de relaxation, se fait apaisante et constitue un appui dans son quotidien. De la même manière que les tensions corporelles se dénouent lors de la séance, les résistances à l’expression émotionnelle, aux vues de l’angoisse qu’elles suscitent, peuvent s’abaisser alors même qu’une sécurité interne est vécue par la patiente, lui permettant doucement, à son rythme, d’apprivoiser les peurs et de les verbaliser ensuite.

La sophro présence du positif ou somatisation positive : cette technique permettra  de renforcer les sensations positives favorisant l’état de sérénité mieux-être vital.

Puis le sophrologue  proposera un entraînement des capacités ou la pratique de relaxation dynamique en fonction du besoin de la personne.

En résumé : Du corps malade au corps ressource

L’annonce du diagnostic d’un cancer vient bousculer la personne atteinte sur un plan psychocorporel, émotionnel voir identitaire. Puis vient l’étape du traitement de la maladie et ses effets secondaires. Le corps est malmené et se transforme. Cette atteinte corporelle résonne dans tout l’être et sa relation avec son entourage. La sophrologie caycédienne, par son accompagnement personnalisé, permet d’améliorer la qualité de vie et de mobiliser les ressources personnelles de la personne pour accepter cette transformations du corps, mobiliser ses forces pour être plus active dans ses traitements, déployer ses capacités de détente et de vitalité et au fur et à mesure retrouver cette notion de vie en soi. En étant plus consciente de soi et de ses capacités,  la personne prend plus facilement du recul, ne s’identifie plus à cette maladie qui est sensée la détruire et la rendre victime mais devient tout en cohabitant avec cette maladie actrice de  sa guérison.

SOPHROLOGIE ET  LES TROUBLES ANXIEUX

SOPHROLOGIE Et LES TROUBLES ANXIEUX

Avec la précarité, l’incertitude du lendemain, parfois l’insécurité qui déchantent,  l’anxiété serait-elle en train de devenir le nouveau mal du siècle.

40% des Français se sentiraient anxieux et les femmes seraient trois fois  plus concernées que les hommes, assure le rapport de mai 2017 du Haut Conseil à l’égalité surtout si elles sont chefs de famille monoparentale.

1.     Descriptif des troubles anxieux :

L’Anxiété peut prendre différentes formes d’état affectif pouvant se définir comme:

L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant qui se traduit par un état d'alerte et de tension, une inquiétude permanente sans objet précis mais qui peut se concrétiser pour n'importe quel prétexte. L'anxieux doute, est indécis, il rumine et appréhende le pire pour lui et pour ses proches. Il a sans cesse besoin d'être rassuré, supporte mal les séparations et les abandons qui réactivent le plus souvent l'angoisse.

L'attaque d'angoisse, appelé également crise d'angoisse ou de panique submerge brutalement la personne qui la subit. Elle survient à n'importe quel moment et se traduit par un sentiment de danger imminent, peur sans objet, une impression de désorganisation, d'impuissance et de détresse, d’insécurité indéfinissable. Parfois, les sujets parlent d'une peur de mourir ou de perdre la raison. Les symptômes physiques sont très marqués : oppression, gêne respiratoire, palpitation, vertige, nausée, brouillard visuel... La crise est de durée variable, quelques minutes à quelques heures. Elle peut être unique ou se répéter

De ce fait, l’anxiété est une entité clinique regroupant des manifestations n’appartenant pas à la même famille :

Les phobies quand elles se cristallisent sur un objet précis (avion, araignée…)

Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) se manifestant par des rituels irrationnels (porte fermée, gaz éteint…)

Le trouble anxieux généralisé (TAG) quand il  envahit chaque seconde de l’existence

Le stress post-traumatiques auxquels sont confrontées les victimes d’accident, d’attentat…

L’anxiété peut-être donc simultanément une pathologie nécessitant un traitement, un tempérament et une façon d’être au monde, selon Christophe André psychiatre-psychothérapeute, précisant qu’au-delà de son caractère invalidant, elle n’est qu’une exagération extrême de l’état de vigilance qui a permis et permet à notre espèce de survivre aux dangers qui nous guettent.

Tout être humain a éprouvé un jour des sentiments d’anxiété. Seulement à partir d’un certain seuil de tension, le système nerveux s’affole.

 En clair, si l'anxiété se forme dans la tête, elle relève d'avantage d'un processus psychique et envahit le corps sous forme d’angoisse (ex la spasmophilie s’exprimant par des malaises, des évanouissements ou l’hypocondrie : la personne croit qu’elle est atteinte d’une maladie grave.

Il est nécessaire de  différencier l'état anxieux de la personnalité anxieuse :

·       L'état anxieux est transitoire, son intensité et sa durée sont en fonction de son origine, qu'elle soit environnementale ou endogène.

·       La personnalité anxieuse ou l'anxiété-trait est une disposition quasi permanente. L'anxieux a tendance à percevoir le monde comme menaçant, vulnérable au stress, il présente des réactions anxieuses plus intenses et plus fréquentes que la moyenne.

·       Les manifestations somatiques sont très courantes et donnent souvent lieu à des consultations chez le médecin pour les motifs suivants:

o   palpitations

o   manifestations respiratoires

o   troubles digestifs

o   migraines

o   douleurs abdominales

o   lombalgies

o   sensation d'instabilité en marchant

o   bourdonnement d'oreille

o   fatigue

o   insomnies

o   Sensation de compression ou d’oppression

  • Sensation d’étouffement avec des difficultés respiratoires – apnées

  • Impression de boules bloquées dans la gorge, dans l’estomac…

  • Transpiration

·       Une crise d’angoisse ou attaque de panique est un épisode transitoire de sensations de peur (anxiété) et d’inconfort. Alors, cela peut être plus ou moins intenses, surgir brutalement et pouvant durer de quelques minutes à plusieurs heures. Les symptômes physiques peuvent comporter des sueurs, des palpitations. Ou encore une impression d’étouffer (dyspnée), des douleurs à la poitrine, des nausées, des picotements (paresthésie). Autrement dit, la sensation de perdre tout contrôle. Ces symptômes sont associés à des sensations de perte de contrôle ou de danger imminent sans lien avec la réalité.

Comment reconnaître une crise d’angoisse (ou crise de panique)?

La crise d’angoisse est manifestation émotionnelle intense. Lorsque vous vivez une crise d’angoisse, vous ressentez une bouffée d’émotion, d’oppression et peut-être de panique que vous ne parvenez pas à contrôler. Voici les différents symptômes :

·       Émotion de peur et d’angoisse intense

·       Ces émotions n’ont pas forcément d’objet (Ce n’est donc pas forcément la peur de quelque chose)

·       Sensation d’oppression dans la poitrine, du mal à respirer

·       Bouffées de chaleur ou bien frissons et picotements

·       Violents mots de tête

·       Peur de la mort

·       Ces crises d’angoisses peuvent se manifester à tous moments sans prévenir : au travail, devant l’ordinateur, au milieu de la nuit…

Mais de quoi parle-ton ?
La crise d'angoisse se manifeste par l'apparition brutale et souvent inopinée d'un certain nombre de symptômes intenses :
- sensation d'une tension qui monte subitement (du ventre vers le thorax ou du thorax vers la gorge)
- oppression thoracique, difficultés à respirer
- tétanie
- accélération de la fréquence cardiaque
- chaleur, sueurs
- sensation d'être vidé, peur de tomber ou de faire un malaise
- peur panique diffuse, voire conviction que l'on va mourir...

L'apport de la sophrologie

Ainsi, la sophrologie est recommandée par de nombreux médecins comme une méthode naturelle et alternative aux médicaments pour lutter contre l’angoisse. C’est une approche concrète et douce, destinée à apprendre des gestes respiratoires et des comportements qui vont considérablement apaiser la vie quotidienne.

Depuis quelque temps, les consultations en sophrologie se multiplient pour des patients souffrant de crises d'angoisse. Également appelées "attaques de panique", ces crises sont aussi désagréables que dérangeantes, sans pourtant contenir de facteurs de gravité. La survenue d'une crise d'angoisse doit néanmoins susciter en premier lieu une consultation médicale pour éliminer toute cause biologique ou physiologique. Ceci fait, il n'est pas rare que le médecin conseille la sophrologie à son patient, pour apprendre à gérer ses crises et le stress pré- ou post-crise .
Pour suivre depuis plusieurs années des personnes qui ont connu des attaques de panique, je confirme que l'on dispose avec la sophrologie d'un attirail tout à fait intéressant, et efficace à terme.

 Une crise d’angoisse génère des tensions : comment apaiser les tensions musculaires, comment se détendre grâce à cet exercice respiratoire, comment apprendre à bien respirer pour apaiser ces crispations, cette boule dans la gorge, le ventre qui serre, la boule dans le ventre ou les brulures à l’estomac, le cœur qui bat vite, la tachycardie qui accompagne l’angoisse, l’impression de ne plus pour voir respirer ; et puis c’est lorsque que l’on est calme et qu’on prend un peu de distance que l’on trouve les solutions les plus performantes pour résoudre une difficulté.

Si l’anxiété s’inscrit dans le mental, l’angoisse, elle, s’inscrit dans le corps

Leurs différences sont subtiles…

On parle « d’anxiété » et de « crise d’angoisse ». De là à dire que l’autre est le symptôme de l’une…

L’anxiété et l’angoisse se camouflent en émotions. Comme les émotions, elles ont donc une utilité pour nous aider à comprendre le monde dans lequel nous évoluons avec cette différence majeure qu’elles tentent de masquer les émotions véritables (peur, colère, tristesse…).

Une fois identifiées, l’angoisse et l’anxiété peuvent apporter des réponses sur ce que nous tentons de nous cacher.
La sophrologie offre des outils qui permettent d’identifier et de comprendre ses états émotionnels et leurs dysfonctionnements pour pouvoir en prendre soin.

Son empreinte est généralement profonde et très diffuse. Il est difficile d’en donner la cause précise. Elle peut parfois être ou devenir pathologique.
Elle se définit  « comme une émotion vague», un malaise sous-jacent,  qui perdure dans le temps et altère la concentration et la vision de la réalité.
Quand l’anxiété devient chronique, elle nécessite une prise en charge psychologique. Toutefois, cela n’exclut pas une prise en charge sophrologique, bien au contraire !

En passant par le corps, la sophrologie vient alors en soutien de la thérapie et accompagne la recherche et l’émergence de sa (ses) cause(s).

L’angoisse « ressemble » à une émotion plus ponctuelle

Parfois même, plus fugace et mieux inscrite dans des temps courts, l’angoisse connaît une ou des causes précises qui sont en l’occurrence occultées par le mental mais vécues par le corps.

Elle est généralement considérée comme une forme paroxystique de l’anxiété. Elle passe par le corps, le système neurologique,  et peut mener jusqu’à la tétanie.

Sa prise en charge peut se faire grâce à la sophrologie en agissant en profondeur sur le système nerveux, pour apprendre à l’apaiser.

La plupart des crises d'angoisse se développent à partir d'un épisode inaugural qui a créé un premier conditionnement magistral (choc, accident ou agression, panique en voiture ou dans les transports...). Dès lors que des critères identiques apparaissent, les symptômes se réveillent instantanément. Ceci rend la vie sociale difficile : impossibilité à se déplacer en voiture ou dans les transports en commun, incapacité à être dans un lieu où il y a du monde - ou du bruit...
Dans quelques cas, la crise d'angoisse devient généralisée (elle peut être la conséquence d'un stress qui s'est installé sur une longue période), et ses effets se manifestent en dehors de toute cause objective. L'individu qui est est victime se trouve "sensible à tout" - et de plus en plus sensible.

La crise d'angoisse génère des anticipations négatives, qui entretiennent et amplifient l'angoisse. C'est "le serpent qui se mord la queue".

Comme décrit précédemment, l'anxiété et les angoisses sont des ressentis plus ou moins envahissants. Du fait de son approche psycho-corporelle, la sophrologie est une bonne indication pour apaiser ces symptômes.

Dans un premier temps, elle permet de renouer avec son corps et ses sensations sur un mode positif, alors que l'anxiété et l'angoisse suscitent toujours des sensations corporelles négatives. C'est par un travail en relaxation dynamique que ce lien au corps peut dans un premier se reconstruire sur un autre mode. Il s'agira d'apprendre à découvrir des exercices susceptibles d'apporter un premier relâchement et un premier soulagement.

Dans un second temps, les sophronisations vous permettront d'appréhender peu à peu une sensation de lâcher prise bénéfique. Cette expérience peut s'avérer rassurante car elle permet de constater qu'en cas de relâchement, et donc lorsque la vigilance baisse, il ne vous arrive rien. Bien entendu, il s'agit de répéter ces sophronisations plusieurs fois afin que votre corps et votre cerveau s'habituent à ce principe.

Troisièmement, des exercices de visualisation vous aideront à appréhender plus positivement les situations anxiogènes. Ils permettent de se projeter dans la réalité avec un point de vue favorisant le calme et ainsi de prendre le contrepied des anticipations négatives habituelles chez le sujet anxieux.

Enfin, les temps de dialogue avec le sophrologue permettront de dédramatiser certaines situations anxiogènes et également de rationaliser leur anticipation. Ils aideront également à affirmer ses ressentis positifs ce qui viendra peu à peu diluer l'angoisse.

L'ensemble de ces principes permettront à chacun de se constituer une boîte à outils faite d'exercices de respiration, de relaxation dynamique, d'images mentales sur lesquels vous appuyer lorsque l'anxiété refera surface ou lorsqu'une crise d'angoisse apparaîtra. Ces outils vous permettront de réguler d'avantage ces tensions internes.

Pourquoi la sophrologie ?
La prise en charge des attaques de panique avec la sophrologie nécessite d'abord un interrogatoire précis de la personne qui consulte, pour isoler les critères significatifs, liés à son histoire et à sa personnalité.
Les séances de sophrologie vont être ciblées, pour que le sophrologue dote son patient de techniques qui vont l'aider à gérer ses crises :
- repérer les prémisses et éviter que la pression monte trop vite
- atténuer les symptômes qui se mettent en place
- canaliser les peurs et les anticipations
- reprendre confiance en soi...

Il est parfois utile de faire un travail spécifique sur l'épisode inuagural, ou l'élement déclencheur, dans le cadre de séances d'hypnose.

De manière assez rapide (au bout de 3 à 7 séances), on commence à voir apparaître une atténuation de la puissance des crises, puis un espacement de leur survenue. La période entre deux crises s'allonge de plus en plus. Et s'il n'est jamais possible de les faire disparaître complètement (pas plus qu'un médecin ne peut garantir à son patient quil n'attrappera plus jamais le grippe), il devient facile de les aborder sereinement pour les faire passer rapidement. Les personnes qui connaissent bien leurs déclencheurs peuvent même agir en amont de certains événements ou situations, de manière préventive. Les événements potentiellement anxiogènes  

Toutefois la sophrologie n’est pas un outil magique qui soulage tout ; je vous encourage vraiment à solliciter l’avis de votre médecin traitant, il vous connait bien et saura vous conseiller d’autres techniques pour vous aider à prendre en charge les angoisses ; discutez avec lui.  

Si cet exercice apaise les tensions du corps et de l’esprit qui accompagnent le stress et les angoisses, je vous suggère de poursuivre ce travail en consultant un sophrologue qui en individuel pourra vous aider à renforcer votre lutte contre le stress. Ce sophrologue pourra être un psychologue. 

Exercice de sophrologie pour évacuer la tension

L’exercice de sophro déplacement du négatif peut être fait n’importe où. Vous devez simplement croiser les doigts puis amener les mains derrière le cou. Prenez une grande inspiration, gardez bien l’air dans les poumons contractez vos muscles puis soufflez pour déplacer tout le négatif en dehors la panique.

Calmez votre respiration pour évacuer le stress

Lorsque vous calmez votre respiration, vous calmerez votre rythme cardiaque. Vous vous sentirez plus détendu. Vous allez tout simplement inspirez calmement par le nez et cherchez à expirer comme dans une paille, comme si vous deviez sifflez avec une paille en serrant les lèvres. Ceci est fait dans le but d’étirer le souffle car c’est à l’expiration qu’on évacue le plus de tensions, l’angoisse, la panique et l’anxiété.

Comment calmer la crise d’angoisse

Prenez une grande inspiration puis soufflez comme dans une paille. Le fait de souffler profondément vous aidera à retirer les tensions qui se trouvent à l’intérieur. L’évacuation du stress par le souffle vous permettra de calmer votre respiration et de calmer les tensions.
Refaites cet exercice plusieurs fois pour sentir une paix intérieure. En calmant la respiration, vous calmez l’esprit et le corps.

Gardez le calme en soi

Faites une rétention d’air dans les poumons pour que l’exercice de sophrologie donne son effet. En retenant votre respiration et en comptant jusqu’à 5 vous allez réguler votre respiration pour la maitriser et pour vous détendre.
En expirant, vous refaites la même expérience en soufflant comme dans une paille. Refaites cet exercice en respirant calmement. Cette respiration régule tout le corps et détend.

Comment gérer une crise d’angoisse et la traverser?

 La meilleure façon de remédier aux crises d’angoisse reste le travail de fond, mais nous y reviendrons juste en-dessous. Néanmoins, lorsque vous en traversez une, il est important d’avoir des techniques pour la gérer. Prévenir les crises est important, tout comme savoir les guérir lorsqu’elles font surface. À compter du moment où vous savez les guérir et vous apaiser durant une crise, c’est une grosse étape de franchie car vous devenez maître (plus ou moins) de cette situation. La crise d’en retrouve atténuée car vous savez ce qui vous arrive, que cela n’est que passager, et que vous pouvez l’estomper.
Les meilleurs méthodes pour en venir à bout sont pour moi la détente et la contraction du corps, ainsi que des exercices de respiration et de visualisation.

 Refusez la panique grâce à notre sophrologue

La colère et le stress ne vont plus vous maîtriser. Cette exercice de sophrologie vous aider à maîtriser votre stress toujours en passant par la respiration. Vous pourrez dire non pour vos crises d’angoisse.
Vous allez inspirer et en retenant l’inspiration, vous allez dire non à votre crise d’angoisse doucement avec la tête. Tout en gardant l’air dans votre corps vous allez tourner la tête de gauche à droite pour dire non cette nouvelle crise d’angoisse. Vous êtes maître de votre corps. Le mouvement de la tête doit être très lent.
Soufflez enfin pour remettre votre tête au centre. Respirez calmement pour dire non à cette crise d’angoisse. Les mouvements lents et décomposées vous aideront à canaliser le stress et dire non au doute, au manque de confiance en soi puis retourner au centre pour souffler.
La respiration est importante pour notre sophrologue. Ces exercices de sophrologie ont pour but de réguler votre tensions pour aider la circulation sanguine à mieux circuler dans le corps afin d’apaiser les tensions et d’éviter dans une nouvelle crise d’angoisse.
Notre sophrologue vous conseille de faire ces exercices de sophrologie aussi souvent que possible pour éviter d’avoir des crises d’angoisse à répétition.

Pratiqué en position de relaxation allongée, le Training Autogène de Schultz fait partie des méthodes fondatrices de la sophrologie. C’est une technique simple et très efficace. Le Training Autogène de Schultz apprend à se relaxer dans n’importe quelle circonstance et à enrayer rapidement son stress. Ainsi, l’important réside dans l’apprentissage de la détente corporelle, passant par une respiration plus ample et plus calme, permettant l’apaisement du système nerveux.

Y a-t-il une solution durable aux crises d’angoisse?

 Savoir traverser une crise et la gérer, c’est bien. Mais être en paix et ne plus les provoquer, c’est encore mieux. Toute chose a une cause et des effets. Nous venons de voir quels étaient les effets de la crise d’angoisse, mais quelle est sa cause?

Et bien la cause change selon la personne. Certains d’entre nous luttent contre eux-mêmes et refusent de prendre une décision libératrice depuis longtemps, tandis que d’autres ont fui leurs peurs depuis tellement longtemps qu’il leur est dur de remonter le fil.

Si vous souhaitez faire un travail de fond, je vous conseille de voir un thérapeute qui va vous aider à régler cela. Je suis sophrologue de métier et je trouve que la sophrologie est une méthode efficace et bienveillante qui peut vous accompagner dans ce parcours. La sophrologie peut vous fournir des outils pour gérer une crise ainsi qu’effectuer le travail de fond pour en guérir la cause.

SOPHROLOGIE ET ACOUPHENES

La sophrologie dans le cadre des protocoles  de gestion des acouphènes

Qu’est-ce que l’acouphène ?

Les acouphènes désignent des bruits entendus de manière continue ou intermittente dans « l’oreille » ou « dans la tête » sans source dans l’environnement. C’est le système auditif lui-même qui génère des sifflements ou bourdonnements. Ce phénomène commun affecte 15% de la population à un moment ou à un autre d’une vie. Dans 95% des cas, ils sont sans gravité mais nécessite la consultation d’un médecin ou médecin ORL.

Dans la majorité des cas, les acouphènes sont dits « subjectifs » c’est-à-dire perçus que par le patient.

Les acouphènes peuvent s’accompagner d’hyperacousie, c’est-à-dire  d’une intolérance aux bruits.

Les origines de l’acouphène

Les causes sont multiples : une maladie de l’oreille, un traumatisme sonore mais également un choc émotionnel. Parfois ils peuvent être purement mécaniques.

Dans 90% des cas, il s’agit de lésions des cellules sensorielles de l’oreille interne. Ces lésions sont elles-mêmes le résultat de traumatisme, d’une infection, troubles hormonaux, métaboliques, vasculaires ou d’hypertension.

Lorsque les origines sont plutôt mécaniques, il s’agit de bouchon de cérumen dans le canal auditif externe ou le blocage d’un osselet de l’oreille moyenne pouvant  gêner la transmission de l’onde sonore à l’oreille interne.

Que faire quand un acouphène apparaît ?

L’acouphène  qu’il soit continu ou non s’avère être une gêne importante dans la vie quotidienne. Avec ce handicap invisible, les personne atteintes rencontrent des difficultés pour se concentrer, s’endormir, peuvent être conduites à l’isolement, souffrir d’anxiété voire de dépression.

La sophrologie et la gestion des acouphènes 

Définition de la sophrologie caycédienne : entraînement du corps et de l’esprit pour développer un mieux-être, une sérénité grâce à des techniques de relaxation-activation du corps-esprit favorisant l’observation, la perception corporelle, la prise de conscience  afin de renforcer les structures (peau-muscles-os-organes) et les attitudes positives de l’être.

Dans ce cadre, la sophrologie est souvent utilisée pour aider les personnes acouphéniques à mieux supporter les sifflements, bourdonnements ou autres sons entendus de manière passagère ou permanente. Ce sont ces symptômes ORL appelés acouphènes. Par leur aspect intrusif, les acouphènes provoquent une souffrance psychologique.

Par des exercices de respiration, de relaxation dynamique et de visualisation mentale, la personne acouphénique est accompagnée »défocaliser », à déporter son attention de l’acouphène, ignorer cette perception parasite grâce à un processus de mise à distance.

Dans certains cas les troubles associés (hypertension, troubles métaboliques, hormonaux, stress, anxiété, dépression) peuvent avoir des  conséquences plus néfastes que  l’intrusion sonore elle-même. Ils doivent traités. Dans ces cas, la sophrologie peut aider à mieux vivre les troubles de l’audition en agissant sur les composantes sensorielles et émotionnelles.

 

Conclusion

Pour apprendre à gérer les acouphènes et apprendre à mieux vivre avec eux, il est important de leur accorder le moins d’importance possible et de vous protéger des expositions sonores excessives. Après un diagnostic médical, votre médecin peut vous conseiller de faire des séances de sophrologie pour vous accompagner à continuer à vivre une vie normale ( gestion du stress, anxiété… ).

SOPHROLOGIE – ADOLESCENT-EXAMENS

 Accompagner les jeunes avec la sophrologie

Les jeunes face au stress au quotidien

Dans leur quotidien, les enfants, adolescents ne sont pas épargnés par le stress. Avec leur rôle de protecteur, les parents ont souvent tendance à penser que le monde de leur enfant est toujours joyeux et sans danger. Or même les jeunes ont leurs soucis et peuvent ressentir du stress à certains niveaux.

Le stress : définition

Le stress est une réaction de notre corps suite à un événement et sa bonne gestion dépend de notre capacité à avoir la bonne attitude pendant cet événement.

Les sources de stress

Le stress provient le plus souvent de sources extérieures (pression parentale, les amis ou l'école, surcroît d’activité extra-scolaires), mais il peut aussi être de sources internes. Les jeunes se mettent aussi peuvent se mettre beaucoup de pression sur les épaules parce qu'il y a souvent un décalage entre la situation telle qu'elle est et la situation telle qu’ils la perçoivent et peuvent ainsi se sentir dépasser par les évènements.

Le stress lié aux changements ou aux événements importants au cours d'une vie peuvent troubler ou mettre en colère les jeunes.

Le déménagement : les jeunes qui déménagent de leur maison quittent la communauté, l'école et le groupe d'amis auprès desquels il se sentait bien. Cela peut déclencher chez eux une sensation d'insécurité, de confusion et d'anxiété.

Enfin, des facteurs aggravants comme la maladie, la mort d'un proche ou un divorce peut causer du stress chez le jeune. Lorsqu'un de ces facteurs s'ajoute aux petits stress quotidiens, le sentiment d'anxiété devient plus fort. Cela peut-être une expérience difficile à vivre car leur système de protection originel (leur famille) se décompose et va connaître un changement.

Quels sont les symptômes du stress chez les jeunes?

Il n'est pas toujours facile de reconnaître les symptômes du stress chez les jeunes. Des changements de comportement à court terme comme des changements d'humeur, manque de concentration, troubles de la motricité, démotivation, somatisation diverses, des troubles du sommeil peuvent être des indicateurs de stress. Certains jeunes ressentent même les effets physiques du stress comme les maux d'estomac ou les maux de tête. D'autres ont des problèmes de concentration ou éprouvent des difficultés à faire leur devoir. Ils peuvent se mettre à mentir ou vouloir défier l'autorité, réagir de façon disproportionnée à de petits problèmes ou encore connaître une chute dans leurs notes et résultats scolaires.

Quelles sont les causes du stress chez les jeunes?

Le stress est une réaction physique, chimique et émotionnelle de notre corps à une situation excitante, troublante ou confuse. Les enfants de tout âge peuvent connaître le stress, mais la façon dont ils vont réagir va dépendre de leur âge, leur tempérament, et leur environnement familial.

Les jeunes connaissent deux types de stress. :

 Le premier est ce que l'on appelle le stress normatif, qui apparaît à chaque stade du développement du jeune. Apprendre à marcher, à parler pour les petits, se faire des amis sont des événements qui peuvent se révéler stressants pour les plus grands. Ce sont des formes de stress qui sont bénéfiques au jeune car elles vont l'aider à grandir et à devenir indépendant.

 

La sophrologie : pour un mieux-être au quotidien

Définition de la sophrologie caycédienne : entraînement du corps et de l’esprit pour développer un mieux-être, une sérénité grâce à des techniques de relaxation-activation du corps et de l’esprit. Elle a pour objectif de renforcer des attitudes positives de l’être au quotidien. Elle participe activement à la gestion du stress et des émotions.

 

Pour qui, pour quoi ?

La sophrologie peut s’avérer très utile à n’importe quel âge et ses applications sont diverses : santé, sport et mieux-être.

Pendant les années apprentissage scolaire, de formation professionnelle et études supérieures, elle peut aider les jeunes à renforcer leur confiance en soi, à augmenter leurs capacités de concentration, mémorisation, gestion du temps et de ses responsabilités, gérer leur stress (lors d’un examen ou compétition sportive, autres épreuves), déployer les attitudes positives face aux difficultés, à renforcer leur motivation face au futur, harmoniser leur relation avec leur entourage.

L’entraînement : le temps de pratique, les techniques, les effets positifs

Un entraînement de 10 à 20 min par jour suffit. Avec un rythme d’entraînement régulier, les bienfaits sont perceptibles dès les premières semaines. Chaque technique à son propre objectif. Le choix de la pratique est libre en fonction des besoins du moment, des objectifs.

Conclusion

L’objectif des entraînements sophrologiques est d’accompagner les jeunes au quotidien et de façon autonome  à développer sérénité, leurs propres capacités et attitudes positives et de mieux-être dans leur vie personnelle et dans le contexte des études.

Ils favorisent le développement de la perception positive du corps, de l’esprit, des états émotionnels et des valeurs personnelles.