La sophrologie pour les seniors

Se libérer des tensions négatives avec la Sophrologie

La sophrologie caycédienne est un ensemble d'exercices de respiration et de relaxation qui permettent de mieux appréhender les situations de stress. Dans ce tuto, je partage avec vous la technique du sophro déplacement du négatif, qui vous permet de vous libérer de vos tensions physiques ou émotionnelles. Je vous propose de suivre une séance pratique de 15 minutes. La santé durable peut se définir comme un état complet de bien-être physique, mental et social, atteint et maintenu tout au long de la vie, en harmonie avec notre environnement naturel Alptis propose une série de tutos vidéos pour accompagner ses adhérents, courtiers partenaires, collaborateurs et grand public à être en forme, rester zen, cultiver leurs liens sociaux et préserver les ressources naturelles.





BOOSTER VOS BONNES RÉSOLUTIONS DE L'ETE AVEC LA SOPHROLOGIE

L’été synonyme de vacances, est souvent le moment pour nous de prendre 

Conscience à quel point notre nos attitudes, notre routine influencent notre rapport à nous-même, notre qualité de vie, notre bien-être

Alors pourquoi pas profiter de cette période pour faire une parenthèse pour prendre soin de nous : 

Vous souhaitez par exemple

1 Remettre votre corps en mouvement 

2 Affiner votre silhouette

3 Faciliter l’élimination des toxines  

4 Rééquilibrer votre alimentation

5 Retrouver votre poids idéal

6 Tout simplement être bien dans vos baskets et dans votre assiette

Cette séance est pour vous ! 

Avec la sophrologie nous apprenons à 

Programmer de nouveaux comportements en mettant entre () tous nos aprioris sur nous-même, notre corps pour revenir à la chose même :

  • Détendre notre corps pour renforcer sa présence positive.

  • Défaire toutes ses tensions en mettant différentes parties de notre corps en mouvement pour renforcer un peu plus nos sensations de bien-être, nos sentiments positifs

Afin de retrouver facilement notre dynamisme, notre motivation pour booster nos bonnes résolutions à changer nos comportements, nos attitudes pour atteindre nos objectifs : 

  • Avec toutes nos sensations et nos sentiments positifs, nous pourrons nous projeter dans notre avenir à plus ou moins moyen terme avec notre objectif atteint et renforcer notre confiance, le sentiment de Soi.

SOPHROLOGIE POUR OPTIMISER NOS CAPACITES POSITIVES

Nous avons vécu pendant quelques semaines une situation inédite qui a bouleversé nos habitudes, notre mode de vie pouvant affecter notre santé physique, mentale, émotionnelle.

En ces circonstances, nous avons réalisé à quel point il est important de renforcer nos attitudes positives

Malgré tous ces changements générés par cette situation si particulière, comment maintenir cet équilibre bien-être-qualité de vie sans être affecté par l’actualité chargé de troubles et d’incertitudes pour notre avenir.

Mais Comment s’y prendre ?

Avec la sophrologie caycédienne nous allons apprendre

-      Être plus conscient de nous-mêmes, de notre relation corps-esprit-affectivité- de nos valeurs essentielles et de notre environnement dans un état de relaxation

-       Créer ou renforcer nos capacités positives et d’adaptabilité en toutes circonstances 

-      Activer les leviers de notre propre changement

SOPHROLOGIE ET MÉMOIRE

Introduction

Notre mémoire  est la base de notre vie. Sans mémoire, il n’y a pas de vie consciente. Elle nous accompagne toute une vie construisant notre identité, développant nos connaissances, nos capacités à étudier.

Biologiquement, elle siège essentiellement dans le cerveau même si les éléments de mémoire se trouvent au plus profond de toutes les cellules. Chaque hémisphère cérébral gère les informations reçues de manière distincte : de manière simplifiée, l’hémisphère gauche analyse ce que le droit imagine. Elle permet de stocker les souvenirs dans des réseaux de neurones connectés les uns aux autres. Pour que le souvenir s’inscrive de façon durable dans la mémoire, les techniques de développement de cette dernière font appel aussi bien à la partie logique qu’à la partie créatrice de notre cerveau.  

La sophrologie aide à la l’entretenir et la renforcer.

 

Les différents types de mémoire

·       La mémoire sensorielle :prend les informations perçues du monde extérieur à travers nos 5 sens sans que nous en soyons réellement conscients. Elle est très brève, sa durée est de maximum 2 secondes. L’information est perdue si elle n’est pas prise en charge par la mémoire à court terme.

·       La mémoire à court terme : les informations y sont mémorisées pendant  15 à 20 secondes avant d’être transférées sans la mémoire à long terme. C’est une mémoire qui contient l’information dont nous avons besoin dans notre vie de tous les jours.

·       La mémoire à moyen ou long terme stocke les informations pendant une longue durée voire toute une vie. Sa capacité de stockage est illimitée : les souvenirs marquants, les apprentissages.

·         Il est conseillé d’apprendre à ordonner et organiser sa mémoire et la stimuler régulièrement pour éviter qu’elle ne se délite.

 

Plusieurs facteurs peuvent altérer la mémoire :

·       Les troubles du sommeil (insomnie, réveil nocturne)

·       Les anxiolytiques, les somnifères

·       Le stress, l’anxiété

·       L’alcool, drogue

·       Les maladies neurodégénératives Le vieillissement

 

La mémoire, fonction principale de l'être : les 3 étapes

L’encodage : L'encodage ou enregistrement est la capacité d'acquérir de nouvelles informations en provenance de nos 5 sens : la vue, l'ouïe, le toucher, l'odorat et le goût. Ces informations sensorielles sont alors traitées pour être mises en mémoire, c'est l'encodage.

Vous pouvez utiliser différentes stratégies pour faciliter l'encodage. Plus vous mettrez en place de stratégies lors de l'encodage et plus vous parviendrez à un apprentissage efficace.

Il existe  plusieurs méthodes permettant   pour que l’information à mémoriser, reste gravée dans la mémoire : les mnémoniques

Les mnémoniques visuelles : déploie les capacités d’imaginer

1.   L’histoire : l’idée est d’inventer une petite histoire à partir des éléments à apprendre. Exemple : mais où est donc or ni car ?

2.  Les images : essayer de créer une image visuelle du sujet à étudier : cela peut-être une carte, un schéma, une forme associés au sujet.

3.  Les associations : cela consiste à mettre en relation l’information à apprendre avec quelque chose de déjà connu.

Les mnémoniques verbales : déploies les capacités de logique et raisonnement

1.   Les chiffres et les lettres : pour retenir des chiffres, les substituer par des lettres et se souvenir ainsi du mot créé.

2.  Les initiales : cela consiste à prendre la 1ère lettre de chaque mot d’une liste à retenir et la transformer en un acronyme. La série de lettres donne la piste nécessaire pour retrouver les mots à retenir (ex OVNIQ pour objet volant non identifié).

3.  La rime : permet de retenir facilement une chanson ou un poème

La catégorisation : cette technique aide à l’organisation de l’information et facilite sa mémorisation. Elle consiste à la regrouper en blocs comportant une caractéristique commune. C’est ainsi donner un sens commun aux données, ce qui facilite le stockage de  l’information.

 Le stockage : c'est l'enregistrement en profondeur après codification : - -par une répétition de l'information pour l'imprimer dans la mémoire
- par un étiquetage, à savoir l'affection d'une référence sur cette information.

Le stockage fonctionne bien au niveau de la mémoire immédiate si le cerveau est détendu, si l'être est détendu.

Lorsque l'être est stressé, la mémoire ne peut pas stocker correctement.

Une fois l'information mise en mémoire, il faut pouvoir la stocker, la faire durer dans le temps. Le stockage est le maintien dans le temps des informations apprises.

Une notion est fréquemment utilisée pour parler du stockage en mémoire, il s'agit de la consolidation :

La consolidation renvoie à la période durant laquelle le cerveau va répéter automatiquement, sans que l'on s'en rende compte, une information jusqu'à ce qu'elle soit suffisamment ancrée dans notre mémoire pour être retenue pendant longtemps.

Le rappel

Le rappel ou "la récupération" réfère au processus qui permet à une information d'être extraite de la mémoire. C'est la capacité de restituer une information préalablement apprise. Les stratégies que vous avez mises en place lors de l'encodage vont vous aider à retrouver l'information.

  • Plus l'information cible (ex : "serpent") est associée à des indices extérieurs ("ANIMAL", commence par la lettre "s") et plus la récupération est efficace.


- Le déstockage : c'est la recherche d'une information stockée

Le déstockage de l'information pourra se faire facilement dès l'instant que l'être est détendu. Si l'information à retrouver est pour l'être source d'angoisse, de stress, cette information sera non accessible.

Donc pour qu'un individu mémorise correctement une information, il faut qu'il soit détendu et concentré.

 

 

Mémoire et Sophrologie

La sophrologie définit différents outils qui permettront à l'être :

-D'augmenter son état de détente et de relaxation
- D'améliorer sa capacité de concentration essentielle dans le processus de mémorisation : Pour fixer des informations dans notre cerveau, il est important de prêter attention aux pensées, aux actes que nous faisons machinalement, de les réaliser en pleine conscience.

- D'affiner ses cinq sens afin de mieux capter l'information

Des exercices sur les 5  sens aident à développer nos perceptions en expérimentant de nouvelles perceptions visuelles, auditives, kinesthésiques, olfactives et gustatives.  Apprendre à  découvrir le type de mémoire que nous utilisons le plus facilite la mémorisation. Si nous retenons mieux en lisant ou en écoutant, nous privilégierons tel canal plus que l’autre.

Par ailleurs, le professeur CAYCEDO a mis au point une méthode originale d'entraînement de la mémoire basée principalement sur cinq techniques :

- L'évocation : d'un souvenir
- La fixation : des sensations agréables associées au souvenir dans la conscience immédiate
- L'association : du souvenir avec un autre similaire
- La répétition : imprégnation en profondeur de la mémoire
- La présentation sophromnésique : intégration de la capacité mémorielle.

Cette méthode permet de travailler sur la fixation et la restitution des informations à mémoriser.

Ces  techniques suggérant d’aller chercher des souvenirs positifs,  voire lointains stimulent la mémoire à long terme. Il s’agit de les revivre avec nos 5 sens, visualisant le lieu, l’environnement, les bruits, les odeurs, les sensations et émotions associées  aux souvenirs. Elles aident à renforcer les chemins neuronaux allant vers  la banque de données qu’est notre mémoire.

Les relaxations dynamiques, amènent à plus de présence à son corps et à ses sensations, tout en facilitant l’apaisement mental. Ces exercices de respiration et de relâchement musculaire favorisent une meilleure régulation émotionnelle, facilitant l’enregistrement  des informations et l’accès plus facile dans nos structures mnésiques des souvenirs stockés.  

 De façon générale, tous les exercices de sophrologie activent le système nerveux parasympathique. Ce dernier aide à la récupération et facilite un bon sommeil. Le cerveau profite de cette période de repos pour enregistrer les informations acquises pendant la journée sous forme de souvenirs dans notre mémoire.

La sophrologie comme la mémoire est une question d’entrainement.

Sophrologie et mémoire pour tous :

1/la sophrologie est un excellent outil d’entraînement à la mémoire durant toute la scolarité et les études des jeunes

2/Pour les séniors : la sophrologie pour bien vieillir : se rassurer sur ces capacités cognitives et corporelles : concentration, vivacité d’esprit, des sens, diminuer le stress de perdre sa mémoire, réguler leur état émotionnel, mieux comprendre les mécanismes du sommeil pour accroître sa qualité.

 

3/Pour les personnes atteintes de maladies neurologiques et notamment les maladies neurodégénératives (maladie d’Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaque) pour stimuler les capacités résiduelles des aidés (troubles comportementaux, capacités mnésiques, attentionnelles) ainsi que les capacités  de bientraitance des aidants souvent accablés par le poids de l’accompagnement.

Pour ces personnes, les exercices pratiqués et les entraînements répétés leurs permettront de mettre en lien le corps et la respiration pour une prise de conscience des sensations positives amorcées et agir sur les facteurs émotionnels parasites. Elles pourrons  aussi s’approprier plus profondément leurs ressentis et stimuler la plasticité neuronale ainsi que les neurones miroirs.

Pour les aidés, les résultats seront assez rapides concernant les troubles comportementaux et des troubles du sommeil.

SOPHROLOGIE ET SOMMEIL

SOPHROLOGIE ET SOMMEIL

1.     Les différentes phases du sommeil :

Même si le sommeil est une machinerie extraordinaire et la mécanique qui rythme nos repos nocturnes complexes, les scientifiques s’accordent sur le fait que dormir  est essentiel à notre santé. Notre sommeil est constitué de plusieurs cycles de 90 minutes en moyenne. Chaque cycle est divisé en plusieurs stades (sommeil léger, profond, paradoxal) qui ont des fonctions spécifiques.

Le sommeil lent, léger, le plus fragile

Toute la journée l’activité de notre cerveau libère des molécules telles que la sérotonine et l‘adénosine qui provoque l’endormissement. Au bout d’un certain temps d’accumulation, nous basculons dans le sommeil. Notre température interne diminue et déclenche la sécrétion de mélatonine, cette hormone qui donne envie de dormir. Mais le sommeil reste à ce stade léger. N’importe quel stimuli extérieur peut nous réveiller. Dans le cas contraire, nos muscles se relâchent, la respiration devient plus calme.

En quelques minutes, nous atteignons le stade 1 : nous dormons.

Quelques minutes après, nous glissons vers le stade 2 : le sommeil devient moins léger. Les ondes électriques émises par le cerveau sont plus lentes. Le taux de cortisol hormone du stress diminue. La fréquence cardiaque et la pression artérielle baissent. Cette phase représente environ 50% de la totalité du sommeil d’une nuit.

Le sommeil lent, profond : crucial pour la mémoire

Arrivé au stade 3, nous sommes plongés dans un sommeil profond. Cette période dure entre 10 à 20 min par cycle. La pression cardiaque et l’activité musculaire est au plus bas niveau. C’est le moment du grand repos et pourtant un moment clé pour la mémorisation. La connexion entre les neurones se multiplie afin de fixer en mémoire connaissances et souvenirs. C’est aussi durant cette phase que la sécrétion d’hormone de croissance se déploie. Le sommeil profond représente 20 à 25% de la durée totale du sommeil et se concentre principalement sur la 1ère partie de la nuit.

Le sommeil paradoxal : le temps des rêves

Sous nos paupières closes, nos yeux bougent en tous sens alors que le reste de notre corps est inerte. Néanmoins, notre rythme respiratoire et notre pouls augmentent. Notre activité cérébrale est intense. Selon les scientifiques, durant ce stade, s’effectue la mémorisation des compétences motrices (apprentissage du vélo /ex) et stimule la créativité. C’est durant cette phase de sommeil que les rêves sont les plus longs et les plus complexes. Plus courte en début de nuit, cette phase s’allonge progressivement au fil des cycles et occupe entre 20 à 25% de notre temps de sommeil.

Réveil en douceur : le sommeil paradoxal est suivi de micro-réveils dont nous avons rarement conscience. A l’issue du dernier cycle, même les yeux fermés, la lumière du jour agit sur notre cerveau et indique à notre horloge biologique que l’éveil est proche. La concentration en adénosine et en mélatonine, les molécules du sommeil est au plus bas et celle du cortisol remonte. Ces 2 signaux favorisent notre réveil imminent

2.     Les vrais pouvoirs du sommeil :

Pendant la nuit, le sommeil régule, régénère et renforce notre corps et offre une réelle cure de jouvence à notre cerveau. De quoi doper nos performances physiques et intellectuelles.

-        Cicatriser plus vite grâce aux hormones de croissance libérées dans le sang

-        Garder la ligne en stimulant l’hormone de la satiété (leptine)

-        Mieux résister aux maladies par la production d’anticorps et des cellules immunitaires (globules blancs)

-        Diminuer le risques de diabète en contribuant à la production d’insuline (hormone sécrétée par le pancréas et régulant  l’absorption de glucose dans le sang)

-         Doper la bonne humeur : en limitant la production de cortisol et d’adrénaline, hormones du stress et facilitant le travail des neurotransmetteurs (molécules qui agissent sur les neurones) pour mieux gérer les émotions et contrôler l’endormissement et l’éveil.

-        Améliorer les performances intellectuelles en faisant le plein d’énergie et en vidangeant les toxines : le cerveau fabrique des réserves énergétiques (des molécules qui alimentent l’activité de ses cellules durant la journée) et évacue les toxines accumulées dans les zones activées pendant l’éveil.

-        Avoir bonne mine : en favorisant la fabrication de l’hormone de croissance  permettant à la peau de se régénérer et stimulant la fabrication de collagène

-        Mieux mémoriser : souvenirs, connaissances, mémoire des gestes stockés dans l’hippocampe durant la journée sont consolidés durant notre sommeil dans le cortex cérébral. Les neurones se multiplient et de nouvelles connexions se forment pour constituer la mémoire à LT. Le cerveau en profite pour faire le tri et effacer certaines informations en supprimant certaines connexions neuronales

 

3.     A chaque âge son sommeil :

Le fœtus : passe le plus clair de son temps à dormir dans le ventre de sa mère pour favoriser sa croissance et son développement cérébral, son apprentissage de la communication.

De la naissance à 2 ans : l’apprentissage du sommeil : au cours des premiers mois, le bébé passe beaucoup de temps à dormir en alternant veille et sommeil. C’est souvent entre 3 et 9 mois l’horloge biologique devient plus sensible permettant de mieux se synchroniser aux rythmes jour-nuit. Le sommeil paradoxal, qui occupe jusqu’à 60%des nuits, joue un rôle important dans le développement des circuits nerveux. Les enfants âgés de 6 mois à 2 ans peuvent comme les adultes, connaître des micro-réveils.

De 3 à 13 ans : dormir pour grandir : le sommeil de l’enfant se transforme lorsque la sieste disparaît. Le sommeil lent s’accroît, favorisant la sécrétion de l’hormone de croissance nécessaire au développement des os et des muscles. Avec les années, l’horaire du coucher a tendance à se décaler de plus en plus tard alors que le réveil reste tôt.  Ce retard de sommeil peut être source d’irritabilité, hyperactivité, retard du langage ou difficulté d’apprentissage.

De 3 à 13 ans : dormir pour grandir : l’adolescent en décalage horaire : le corps en pleine croissance et le cerveau continuant à se développer, les besoins de sommeil sont environ de 9h. Or beaucoup de jeunes dorment en moyenne 7h car éprouvent de grandes difficultés à s’endormir, problème accentué par l’usage des écrans. Résultat : 23% des jeunes souffrent de somnolence en classe impactant les performances scolaires et l’équilibre psychique.

De 18 à 60 ans : métro-boulot-dodo rime avec manque de sommeil : à l’âge adulte le corps et le cerveau ont atteint leur maturité. Le besoin de sommeil se réduit autour de 7 à 9h par nuit. Seulement les contraintes professionnelles et familiales souvent ne permettent pas d’atteindre ce quota.

A partir de 60 ans : un sommeil plus fractionné : un tiers des seniors se plaignent de problème de sommeil : le temps pour s’endormir pus long et des nuits fractionnées par des micro-réveils. Ce changement s’explique en partie par une sécrétion moindre de la mélatonine, l’hormone favorisant l’endormissement et la qualité du sommeil.

 

4.     Les problèmes de sommeil :

Rythmes atypiques : Dans notre société actuelle, l’individu a de plus en plus de difficulté à gérer son sommeil. Notre cerveau est bombardé par des milliards d’informations chaque jour. La pollution sonore, les rythmes qui s’accélèrent, le travail de nuit, les horaires décalés, le stress qui en résulte provoquent des problèmes, voir une privation chronique de sommeil impactant nos mécanismes de concentration et de mémorisation, vigilance et notre propre physiologie.

De plus le coucher est retardé en moyenne pour chacun de 5 secondes par jour avec l’emploi de tablette, téléphone portable, ordinateur le soir, faisant croire à notre horloge biologique interne que c’est le jour.

Hypersomnie : Mal connu du grand public, elle se caractérise par un sommeil trop long et ou de mauvaise qualité et un réveil léthargique, sans énergie. Le réveil est difficile et les personnes atteintes ont souvent du mal à émerger. La narcolepsie est la plus fréquente : elle se caractérise par des épisodes soudains et irrésistibles de sommeil et dans certains cas de cataplexie : perte brutale du tonus musculaire, impossibilité de parler…

Combattre l’insomnie sans médicaments : Selon une enquête récente, (INSV/MGEN 2016), 16% des Français se plaignent d’insomnie : difficulté à s’endormir, retrouver le sommeil après un réveil nocturne, réveils fréquents pendant la nuit, réveil matinal précoce sans se rendormir. L’insomnie s’avère déclarée lorsqu’elle se répète au moins 3 nuits par semaine sur 3 mois.

Ses origines :

Biologique : altération de l’horloge interne, troubles respiratoires du sommeil

Psychologique : stress, anxiété

Sociale : horaire de travail décalé, ronflements du partenaire.

Les premiers réflexes sont de prescrire des anxiolytiques qui diminuent l’angoisse ou l’anxiété ou des somnifères qui souvent sont sans efficacité et ou générant des effets secondaires : les benzodiazépines sont par exemple des psychotropes qui inhibent l’activité de certaines neurones impliquées dans l’éveil. Leur consommation prolongée peut provoquer une accoutumance, effets secondaires : somnolence diurne, perte de conscience, démence chez les séniors.

 

5.     La sophrologie caycédienne : un outil précieux pour se reconnecter à la fonction naturelle du sommeil

 

A.    Qu’est-ce que la sophrologie caycédienne ?

Définition: Cette technique psychocorporelle mise au point par le neuropsychiatre Alfredo Caycedo dans les années 60 est basée sur des techniques de relaxation dynamique, de respiration et d’activation du corps et de l’esprit. Ses objectifs sont de renforcer les attitudes positives de l’être au quotidien. Elle participe activement à la gestion du stress et des émotions.

Cette méthode s’inscrit dans une approche phénoménologique et accorde une place privilégiée à la « vivance », terme utilisé par Caycedo pour désigner le vécu pendant la séance, sans a priori, sans jugement.

La pratique régulière de la sophrologie caycédienne favorise la conscience de soi par la perception positive du corps et de l’esprit, des états émotionnels et des valeurs personnelles. Selon l’objectif choisi, aller à la découverte de la sérénité et mieux-être en relâchant  les tensions ou stimuler l’énergie en intensifiant les sensations de vitalité. Dans tous les cas les techniques apportent une transformation positive de l’attitude envers soi-même et envers les autres.

 

B.     La sophrologie caycédienne pour améliorer sa qualité du sommeil

Véritable antistress naturel, la sophrologie se révèle très efficace pour mieux dormir. Grâce à des méca­nismes de respiration et de visualisation, elle per­met de relâcher toutes les tensions accumulées dans la journée et de calmer le système nerveux autonome. Le sommeil se prépare dès le réveil en conditionnant la qualité de l’éveil, pour accéder au lâcher-prise le soir sans résister.

Les techniques proposées par la sophrologie dans le traitement des troubles légers du sommeil visent à augmenter ce facteur d’efficacité de votre sommeil. Différentes techniques de relaxation peuvent être proposées pour réduire l’ensemble des facteurs tels que la durée d’endormissement, le nombre ou la durée des réveils. Chacun de ces troubles pourra ainsi être traité séparément, par le patient lui-même, en fonction de ses besoins réels, et non de façon globale comme lors de l’utilisation de traitements.

La phase d’endormissement pourra être réduite par l’apprentissage d’exercices de respiration abdominale, propice à la relaxation, ou encore un travail sur les tensions musculaires et sur la mise en repos de l’activité intellectuelle, deux éléments propices à favoriser la sensation de bien-être et l’endormissement.

La respiration abdominale. C'est celle du nouveau­-né, que l'on adopte spontanément dans le sommeil, et qui procure une détente profonde. Pourtant, nombreux sont ceux qui respirent à l'envers, en bloquant le ventre.

S'initier au relâchement des tensions : Il permet de prendre conscience de son corps et de dénouer les tensions. Allongé, les yeux fermés, on adopte une respiration abdominale calme et régulière. On commence par détendre chaque zone du visage, en commençant par le front, les paupières, les joues, la mâchoire. Ensuite, on décontracte les épaules, les bras, les mains et les doigts. On décrispe le dos, de la nuque jusqu'aux lombaires, puis cette sensation de relâchement se prolonge dans les cuisses, les mollets, les pieds jusqu'au bout des orteils. Peu à peu, on sent son corps lourd et délesté des tensions.

Un bon sommeil se prépare. Les différentes études montrent que se coucher avec l’angoisse de l’insomnie est souvent à l’origine des périodes d’éveils nocturnes. Le sophrologue peut compléter les techniques précédentes par des exercices basés sur la sophro-mnésie, c’est-à-dire la capacité à revenir sur une expérience positive vécue pour y retrouver les éléments mis-en-oeuvre et les réactiver, et des techniques de futurisation. Ces deux techniques vous permettent de reprendre confiance dans votre capacité à passer une bonne nuit et vous préparent à un moment de repos agréable et réparateur.

Protection sophroliminale du sommeil : entraîne et renforce les niveaux les + profonds de la conscience par des sensations + ; entraînement de la conscience aux capacités d'endormissement et au maintien d'1 bonne qualité de sommeil utilisé de 3 façons: 1. Reprogrammation du sommeil (coucher, sommeil, réveil) /2. Couché pour faciliter l'endormissement /3 adapté à toute situation appréhendé et que l'on veut aborder +sereinement

Toutes ces techniques, faciles d’apprentissage, sont pensées pour une utilisation pratique et autonome. Après quelques séances, et à condition de pratiquer régulièrement les exercices, vous disposerez des “outils” propres à répondre de façon ciblée à vos propres troubles du sommeil.

Dans de nombreux cas de figure la sophrologie offre une véritable alternative aux traitements chimiques. Cependant, il existe des insomnies qui résisteront à cette approche. C’est le cas des insomnies dites “de seconde partie de nuit”, souvent liées à un facteur dépressif. Ce type d’insomnie demande un traitement particulier qui dépasse le cadre de la sophrologie, surtout quand il faut traiter la dépression avant de pouvoir agir sur l’insomnie. Le sophrologue travaillera alors sur avis du médecin traitant, ou thérapeute, et suivra ses indications. La sophrologie retrouvera alors sa place de soin d’accompagnement.

SOPHROLOGIE ET DOULEUR

Gérer la douleur : la comprendre pour mieux la tolérer

Aujourd’hui en France, une personne sur deux souffre de douleur, aigüe ou chronique. Malgré toutes les mesures de prévention et traitement mises en œuvre par les professionnels de la santé, la douleur reste un phénomène fréquent.

La sophrologie, complémentaire à la prise en charge médicale peut s’avérer très utile pour apaiser ou réduire les symptômes de la douleur.

Qu’est-ce que la douleur ?

La douleur est une sensation ou expérience émotionnelle désagréable en réponse à une atteinte tissulaire réelle ou potentielle. Il existe 2 grands types de douleur

Aiguë : atteinte tissulaire brutale liée à un traumatisme, une inflammation. C’est un signal d’alarme utile pour informer le corps d’un danger existant ou potentiel. (ex l’approche d’une source de chaleur vive en cas de brûlure).Une fois la cause identifiée, la prise en charge est souvent pharmacologique (antalgiques).

Chronique : ce syndrome douloureux chronique selon la Haute Autorité de la santé est multidimensionnel lorsque la douleur exprimée persiste au-delà de qui est habituel pour la cause initiale présumée et malgré la prise de traitement. Ce type de douleur devient alors maladie avec des conséquences sur la vie de la personne qui en souffre.

Fréquemment associée à des troubles psychopathologiques, son traitement,dans les deux cas ,repose avant tout sur un accompagnement global de la personne : son évaluation, approches médicales, médicamenteuses, psychologiques, sociales et complémentaires d’accompagnement telle que la sophrologie.

La sophrologie et la douleur 

Définition de la sophrologie caycédienne : entraînement du corps et de l’esprit pour développer un mieux-être, une sérénité grâce à des techniques de relaxation-activation du corps-esprit favorisant l’observation, la perception corporelle, la prise de conscience  afin de renforcer les structures (peau-muscles-os-organes) et les attitudes positives de l’être.

L’accompagnement s’effectue sur 3 axes :

Prophylactique : permet de préparer, anticiper le phénomène douloureux

Thérapeutique: pour diminuer l’intensité de la douleur

Pédagogique : le sophrologue transmet des techniques que la personne de façon autonome peut utiliser en cas de douleur en complément des traitements préconisés par le médecin.

Il existe différentes technique telles que la technique « sophro-substitution sensorielle » très efficace mais demandant un diagnostic au préalable ; d’autres techniques plus simples et utiles telles que le « sophro déplacement du négatif », des techniques de respiration comme la « respiration diaphragmatique pausée ».

Conclusion

La sophrologie en complément de traitements médicaux ou médicamenteux peut permettre une meilleure gestion de la douleur aigüe (blessure, brûlure, douleur post opératoire…) ou  chronique (ex la fibromyalgie, endométriose…) une amélioration de la qualité de vie.  Au-delà de subir la douleur, grâce à l’appropriation de cet outil réutilisable, la personne devient plus actrice et plus autonome dans ses soins.

Sophrologie et fibromyalgie

 La sophrologie : pour soulager au quotidien les personnes atteintes de fibromyalgie

Qu’est-ce que le fibromyalgie ?

La fibromyalgie, est une maladie associant des douleurs musculaires, articulaires diffuses, une grande fatigue, des troubles du sommeil, des troubles cognitifs mineurs et des troubles de l'humeur d'intensité variable.

Quels sont les causes, les  symptômes de la fibromyalgie?

L’existence de ce syndrome est reconnue depuis 1992 par l’Organisation mondiale de la Santé.

Cependant, la fibromyalgie est encore mal connue et mal comprise.

Les causes

Aujourd'hui, il semble que certains facteurs pourraient aussi être les causes bien toutefois incertaines.

Physiologiques : (anomalies du système nerveux, perturbations hormonales, etc.).

Génétiques : sont désormais démontrées, plusieurs personnes étant atteintes dans certaines familles.

Facteurs biologiques : un manque chronique de sommeil réparateur.

Des infections : De nombreux agents infectieux ont été incriminés expliquant le déclenchement, comme les virus de l’hépatite C ou B.

Le traumatisme physique : Les accidents causant un « coup du lapin », c’est-à-dire un traumatisme des vertèbres cervicales, sont souvent montrés du doigt.

Des traumatismes émotionnels comme ceux de  l’adolescence l’ l'enfance, ainsi que de certains événements dramatiques (agression, attentat...).

L’anxiété : Les troubles anxieux sont souvent présents avant l’apparition des douleurs (3/4 des patients), tandis que la dépression apparaît le plus souvent après le début de la fibromyalgie.

 

Les symptômes nombreux et sa ressemblance ou sa cohabitation avec d'autres maladies ou syndromes (rhumatismes articulaires, syndrome de fatigue chronique, syndrome de l’intestin irritable, migraine, problèmes tels que les maux de tête, troubles du côlon (côlon irritable), syndrome des jambes sans repos, troubles oculaires, tremblements) compliquent le diagnostic de fibromyalgie. Avant de poser un diagnostic de fibromyalgie, les médecins demandent des examens complémentaires (en particulier prises de sang et radiographies) afin d’écarter d’autres maladies qui se soigneraient tout autrement.

 

La sophrologie, pour soulager les maux liés à la fibromyalgie ?

-       Diminuer les sensations de douleurs : apprend à ne plus subir la douleur et améliorer notablement la qualité de vie.

-       Améliorer la qualité du sommeil.

-       Apporter de sensations de relaxation, détente psychocorporelle.

-       Gérer les sensations de mal-être, les émotions.

L’entraînement : le temps, modalités de pratique, les techniques, les effets positifs

Les techniques :

La relaxation dynamique vise à se remettre à l’écoute du corps et des sensations, apprendre que le mouvement peut ne pas être douloureux, voire même apporter un mieux-être.

En complément des relaxations dynamiques,  les techniques spécifiques apportent un soutien complémentaire :

Dévier l’attention de la douleur, comme la sophro présence du positif en détournant par la visualisation d’une situation agréable qui procure des sensations positives l’attention du patient souvent fixée sur sa douleur et éviter que celle-ci s’installe.

Le sophro déplacement du négatif, qui permet d’évacuer les tensions inutiles.

La sophro substitutions sérielle qui permet de remplacer la douleur par une autre sensation.

Techniques de visualisations avec la sophro projection future, en se visualisant en bonne santé et en forme, cela active le mécanisme d’auto-guérison du corps humain.

La sophro activation vitale permet de rendre plus présents à la conscience tous les muscles et organes et de renforcer leur structure biologique.

La respiration diaphragmatique pausée : pour contrôler la respiration, ralentir le coeur et éviter les bouffées d'angoisse, notamment lorsque les douleurs surviennent. 

En conclusion : les résultats procurés par la sophrologie

En amenant le patient à écouter son corps par la détente, la relaxation dynamique, le travail sur la respiration et la douleur,  la sophrologie apporte une aide efficace dans la prise en charge de la fibromyalgie.

La sophrologie ne remplace pas le traitement médical mais le complète.

En complément d’une psychothérapie, les techniques qui installent un état entre sommeil et veille entraînent des changements biologiques, notamment une baisse des hormones du stress (adrénaline et cortisone). Elles pourraient aussi augmenter la sécrétion d'endorphines.

La sophrologie

-       apprend à faire face à ses émotions,

-       permet d’aborder la maladie différemment pour ne plus la subir. La personne reprend confiance en elle et gagne en qualité de vie.

-        Permet d’accéder à un autre niveau de conscience vis à vis de la douleur, pour de ne plus subir mais de pouvoir mieux la gérer.

-       Diminue les tensions, le rythme cardiaque, la tension artérielle

-       procure de la détente, une meilleure oxygénation, meilleure perception de soi, meilleure digestion et amélioration du sommeil.

 

Sophrologie et examens, concours, entretiens d'embauche….

Examens, oraux, concours, permis de conduire, compétitions sportives, entretiens d’embauche….

 

Ces situations peuvent être  sources d’anxiété et de stress.

Le rythme et la quantité de travail, la compétition, la peur des échéances ou les incertitudes concernant l’orientation à choisir, l’angoisse de passer des oraux, de prendre la parole en public … peuvent engendrer des difficultés nous conduisant parfois à perdre nos moyens et à être moins performants.

Quels que soient votre cursus et votre projet, vous êtes exposé(e) à un rythme stressant et à des efforts constants qui peuvent altérer votre santé sur tous les plans …

Les symptômes du stress sont variés selon chaque individu. Des changements de comportement à court terme comme des changements d'humeur, irritabilité, troubles de la motricité, démotivation, somatisation diverses, des troubles du sommeil peuvent être des indicateurs de stress. Des douleurs abdominales, les maux estomac, maux de tête. Durant vos révisions peuvent survenir des problèmes de concentration, de dispersion, perte de la mémoire, sentiment d’incapacité.  Les conséquences peuvent engendrer des affections psychosomatiques, des somatisations négatives.

Il existe cependant des solutions pour remédier à cet état de tension et déployer toutes vos capacités, votre volonté et votre motivation nécessaire à l’approche de cette période souvent lourde d’enjeux.

 

La sophrologie pour vous accompagner efficacement

Qu’est-ce que la sophrologie?

Définition de la sophrologie caycédienne : entraînement basé sur des techniques de relaxation dynamique et d’activation du corps et de l’esprit. Ses objectifs sont de renforcer les attitudes positives de l’être au quotidien. Elle participe activement à la gestion du stress et des émotions.

L’entraînement sophrologique

La pratique régulière de la sophrologie caycédienne favorise la conscience de soi par la perception positive du corps et de l’esprit, des états émotionnels et des valeurs personnelles. Selon l’objectif choisi,

-       aller à la découverte de la sérénité et du mieux-être en relâchant  les tensions

-       stimuler l’énergie en intensifiant les sensations de vitalité.

-       Dans tous les cas les techniques apportent une transformation positive de l’attitude envers soi-même et envers les autres. 

La Sophrologie constitue ainsi un formidable outil permettant d’appréhender les examens et compétitions de façon plus sereine et confiante, en pleine possession de ses capacités.

Enfants, adolescents, adultes, séniors : tous peuvent profiter de l’efficacité des techniques sophrologiques pour optimiser leur potentiel intellectuel et physique, être pleinement en forme le jour J et en possession de tous ses capacités.

 

Les bienfaits de la sophrologie

La sophrologie permet d’agir sur plusieurs plans:

-       Apprendre à se relâcher physiquement utile lorsque les positions assises sont prolongées   ou les mauvaises postures occasionnant des tensions ou des maux de tête. Apprendre à être à l’écoute de son corps, ses signaux

 

-       se réconcilier avec son corps et le relâcher, en travaillant la  respiration. Une respiration bloquée est source de stress et de tensions. Apprendre ces techniques de respirations abdominales, permet  rapidement de  mieux se détendre et rester centré(e) et performant. Ces techniques  pourront être ensuite utilisées avant les examens et le jour J.  

 

-       la visualisation positive : importante dans cette préparation aux examens pour programmer  dans le futur  votre réussite avec toutes les sensations positives favorisant l’amélioration de l’estime de soi et de la confiance en soi.

-       Améliorer  la qualité du sommeil :

Pendant la nuit, le sommeil régule, régénère et renforce notre corps et offre une réelle cure de jouvence à notre cerveau. De quoi doper nos performances physiques et intellectuelles.

 

La sophrologie pour aborder les examens avec sérénité!

 

L’entraînement : le temps, modalités de pratique, les techniques, les effets positifs

Le temps et modalités de pratique : un entraînement de 10 à 20 min par jour suffit. Elle se pratique en tenue normale, à la maison, les transports en commun, lieu de travail.  Le silence absolu n’est pas nécessaire puisque l’objectif est plutôt d’arriver à pratiquer dans notre environnement habituel et d’appliquer peu à peu les enseignements sophrologiques dans les situations de la vie quotidienne.

Les techniques : en matière de stress, l’entraînement permet de développer cette capacité d’auto conscience et propose ainsi des outils concrets pour apprendre à se relaxer et récupérer, positiver.

La  sophronisation de base pour mieux apprendre à se connaître.

La respiration diaphragmatique pausée pour tranquilliser nos pensées et émotions afin favoriser un état d’équilibre et de détente du corps et de l’esprit.

Le sophro-déplacement du négatif très efficace pour défaire les tensions physiques et émotionnelles. En nous accompagnant à établir une relation et une perception positive avec soi-même, elle favorise la transformation du processus de somatisation.

La sophro présence du positif ou somatisation positive : après l’apprentissage du « sophro déplacement du négatif » pour mieux gérer les somatisations désagréables, cette technique permettra  de renforcer les sensations positives favorisant l’état de sérénité et bien-être vital.

Ces techniques précédentes peuvent être  compléter par des exercices basés sur la sophro-mnésie, c’est-à-dire la capacité à revenir sur une expérience positive vécue pour y retrouver les éléments mis-en-oeuvre et les réactiver, et des techniques de futurisation.

Sophro Programmation Future : pour se préparer à un évènement ou une période difficile ou intégrer la vision positive d'une période future.

Sophro Projection des Capacités : pour percevoir le futur à la lumière des capacités ou des qualités choisies.

Sophro Acceptation Progressive : c’est un entraînement de la conscience à anticiper positivement : se pratique de façon progressive avec un programme d'une semaine.

Protection sophroliminale du sommeil : entraînement de la conscience aux capacités d'endormissement et au maintien d'une bonne qualité de sommeil. C’est exercice est recommandé  pour programmer son sommeil réparateur et optimiser durant chaque cycle de sommeil, le repos physique pour relâcher tout le corps et psychique et renforcer ses capacités d’attention, concentration, mémoire et son système immunitaire.

 Les effets positifs : avec un rythme d’entraînement régulier, les bienfaits sont perceptibles dès les jours . Chaque technique à son propre objectif. Le choix de la pratique est libre en fonction des besoins du moment, des objectifs.

SOPHROLOGIE ET CANCER

La sophrologie caycédienne :

un accompagnement précieux pour les personnes souffrant d’un cancer dès l’annonce du diagnostic jusqu’à la fin des traitements

La sophrologie caycédienne, qu’elle soit pratiquée en milieu hospitalier (de plus en plus de centres de soins intègrent désormais la sophrologie dans l’accompagnement des malades) ou en cabinet libéral, est un outil complémentaire aux autres soins supports (c’est-à-dire l’ensemble des soins et soutiens nécessaires aux personnes malades tout au long de la maladie conjointement aux traitements (chimiothérapie, radiothérapie).

Qu’est-ce que la sophrologie caycédienne ?

Définition: Cette technique psychocorporelle mise au point par le neuropsychiatre Alfredo Caycedo dans les années 60 est basée sur des techniques de relaxation dynamique, de respiration et d’activation du corps et de l’esprit. Ses objectifs sont de renforcer les attitudes positives de l’être au quotidien. Elle participe activement à la gestion du stress et des émotions.

Cette méthode s’inscrit dans une approche phénoménologique et accorde une place privilégiée à la « vivance », terme utilisé par Caycedo pour désigner le vécu pendant la séance, sans a priori, sans jugement.

La pratique régulière de la sophrologie caycédienne favorise la conscience de soi par la perception positive du corps et de l’esprit, des états émotionnels et des valeurs personnelles. Selon l’objectif choisi, aller à la découverte de la sérénité et mieux-être en relâchant  les tensions ou stimuler l’énergie en intensifiant les sensations de vitalité. Dans tous les cas les techniques apportent une transformation positive de l’attitude envers soi-même et envers les autres.

La sophrologie, un outil précieux pour accompagner les personnes atteintes d’un cancer face à la maladie ?

A l’annonce du diagnostic : les personnes sont souvent très affectées, effondrées, très affaiblies,  face à ce qu’elles viennent d’apprendre. A cela s’ajoute très vite la peur de l’avenir, la crainte des traitements, générant beaucoup d’anxiété et de stress.

Consulter un sophrologue à ce moment est particulièrement indiqué pour mettre en place un accompagnement personnalisé permettant d’améliorer la qualité de vie et de mobiliser les ressources personnelles pour gérer au mieux la maladie.

Avant une intervention chirurgicale : dans certains cas, traiter un cancer nécessite une intervention chirurgicale pouvant être une véritable épreuve pour les patients.

Programmer une séance de sophrologie va permettre de mieux

-        gérer le stress lié à l’opération, l’anesthésie

-       de visualiser le bon déroulement de l’intervention et sa phase de réveil

-       Mieux gérer la douleur post-opératoire

Après l’ablation d’un organe, mastectomie : l’acte chirurgical en lui-même est nécessaire pour amputer la partie malade. Mais pour le patient elle signifie transformation du corps. Associer le soin à l’amputation, la guérison possible à la mutilation peut générer sur un plan psychocorporel une confusion nécessitant une acceptation progressive et un travail de deuil (beaucoup de femmes sont confrontées à cette problématique lors d’une mastectomie par exemple : soigner le sein est lié à son amputation.  Accepter cette transformation du corps demande de faire le deuil de l’organe et de ce qu’il représente : symbole de la féminité, organe nourricier des enfants…).

La sophrologie pour accompagner les traitements et leurs effets secondaires :

La phase des traitements très éprouvante pour les personnes atteintes d’un cancer peut être mieux vécue grâce aux séances de sophrologie :

Le stress majore les effets secondaires des traitements et affaiblit le système immunitaire.

Pour mieux gérer les effets secondaires des traitements et garder le moral, la sophrologie représente une aide précieuse pour les personnes souffrant d’un cancer :

-       Pour réduire le stress et l’anxiété

-       Pour gérer la fatigue, les douleurs, acouphènes

-       Pour prendre du recul et changer la perception des traitements souvent envisagés comme lourds et toxiques par la personne atteinte.

-       Perte d’appétit et altération du goût, perte des cheveux …

 

En modifiant sa représentation des soins, la personne n’a plus l’impression de subir mais de mobiliser toutes ses forces dans un objectif de guérison. Avant une chimiothérapie ou une séance de radiothérapie, le sophrologue va installer la personne dans une bulle de bien-être grâce à un travail de visualisation. Au moment des soins, elle pourra recontacter toutes les sensations agréables vécues pendant la séance. Cela modifie considérablement la manière de vivre les soins.

Une autre technique de visualisation permet de visualiser les cellules saines, les protéger, faire en sorte que le traitement ne s’attaque qu’aux cellules malignes. Cette séance pratiquée à la maison, à l’hôpital pendant l’injection de chimiothérapie permet à la personne d’être active dans le traitement de sa maladie, plus forte, plus sereine.

La sophrologie pour remettre le corps en mouvement et en douceur

Dans le parcours de soins, les exercices de respiration et de relaxation dynamique permettent de remettre le corps, souvent malmené par les traitements, en mouvement à travers une approche douce et respectueuse des limites de chaque personne. Les bienfaits sont notables aussi bien sur le plan physique (détente, relaxation, apaisement) que psychologique (sérénité, confiance). Dans les moments de découragement, la sophrologie permet de restaurer l’envie de vivre pleinement, de garder la capacité à profiter des petits plaisirs de la vie et de continuer à faire des projets.

La sophrologie caycédienne peut être envisagée après la fin de traitements

Ainsi la sophrologie constitue une méthode d’accompagnement au quotidien dans la traversée de la maladie, mais aussi dans la vie quotidienne lorsque la personne a terminé ses traitements  afin qu’elle puisse retrouver un nouveau rythme de vie, se projeter dans le futur, consciente de la maladie qui s’éloigne et de sa relation nouvelle au corps transformé.

 La sophrologie caycédienne : sa pratique, les effets positifs

 Le sophrologue accompagne la personne, en créant l’alliance avec elle,  durant toute sa séance (environ 1h). Le programme est individuel et personnalisé. Les séances étant enregistrées, la personne peut librement s’entraîner à tout moment quand elle en ressent le besoin.

Avec les techniques de base, les personnes vont redécouvrir les sensations les plus simples avec un regard  nouveau, comme si c’était la première fois.

Ces techniques sont proposées en début  de séance pour inviter la personne à se concentrer  sur la forme et la présence des différentes parties de son corps. Alors que l’attention est souvent focalisée sur la zone douloureuse ou malade,  la conscience peut s’élargir à l’ensemble de la corporalité et intégrer des lieux de bien-être encore possible.

Les personnes atteintes évoquent souvent une première sensation de relaxation et de bien-être, si rare et précieux dans ce contexte de maladie grave. Le corps n’est pas seulement souffrant, mais il peut être vécu aussi dans sa partie saine et devenir un corps plaisir, corps apaisé. C’est un nouveau regard qui peut alors se porter sur la corporalité.

Les techniques de respiration diaphragmatique pausée renforcent cet état de détente en tranquillisant les  pensées et les émotions. Le sophro-déplacement du négatif très efficace pour défaire les tensions physiques et émotionnelles.

La sophrologie propose une plongée dans les ressources propres de la personne, sa respiration, mobilisée dans un état de relaxation, se fait apaisante et constitue un appui dans son quotidien. De la même manière que les tensions corporelles se dénouent lors de la séance, les résistances à l’expression émotionnelle, aux vues de l’angoisse qu’elles suscitent, peuvent s’abaisser alors même qu’une sécurité interne est vécue par la patiente, lui permettant doucement, à son rythme, d’apprivoiser les peurs et de les verbaliser ensuite.

La sophro présence du positif ou somatisation positive : cette technique permettra  de renforcer les sensations positives favorisant l’état de sérénité mieux-être vital.

Puis le sophrologue  proposera un entraînement des capacités ou la pratique de relaxation dynamique en fonction du besoin de la personne.

En résumé : Du corps malade au corps ressource

L’annonce du diagnostic d’un cancer vient bousculer la personne atteinte sur un plan psychocorporel, émotionnel voir identitaire. Puis vient l’étape du traitement de la maladie et ses effets secondaires. Le corps est malmené et se transforme. Cette atteinte corporelle résonne dans tout l’être et sa relation avec son entourage. La sophrologie caycédienne, par son accompagnement personnalisé, permet d’améliorer la qualité de vie et de mobiliser les ressources personnelles de la personne pour accepter cette transformations du corps, mobiliser ses forces pour être plus active dans ses traitements, déployer ses capacités de détente et de vitalité et au fur et à mesure retrouver cette notion de vie en soi. En étant plus consciente de soi et de ses capacités,  la personne prend plus facilement du recul, ne s’identifie plus à cette maladie qui est sensée la détruire et la rendre victime mais devient tout en cohabitant avec cette maladie actrice de  sa guérison.

SOPHROLOGIE ET  LES TROUBLES ANXIEUX

SOPHROLOGIE Et LES TROUBLES ANXIEUX

Avec la précarité, l’incertitude du lendemain, parfois l’insécurité qui déchantent,  l’anxiété serait-elle en train de devenir le nouveau mal du siècle.

40% des Français se sentiraient anxieux et les femmes seraient trois fois  plus concernées que les hommes, assure le rapport de mai 2017 du Haut Conseil à l’égalité surtout si elles sont chefs de famille monoparentale.

1.     Descriptif des troubles anxieux :

L’Anxiété peut prendre différentes formes d’état affectif pouvant se définir comme:

L'attente anxieuse est le symptôme le plus constant qui se traduit par un état d'alerte et de tension, une inquiétude permanente sans objet précis mais qui peut se concrétiser pour n'importe quel prétexte. L'anxieux doute, est indécis, il rumine et appréhende le pire pour lui et pour ses proches. Il a sans cesse besoin d'être rassuré, supporte mal les séparations et les abandons qui réactivent le plus souvent l'angoisse.

L'attaque d'angoisse, appelé également crise d'angoisse ou de panique submerge brutalement la personne qui la subit. Elle survient à n'importe quel moment et se traduit par un sentiment de danger imminent, peur sans objet, une impression de désorganisation, d'impuissance et de détresse, d’insécurité indéfinissable. Parfois, les sujets parlent d'une peur de mourir ou de perdre la raison. Les symptômes physiques sont très marqués : oppression, gêne respiratoire, palpitation, vertige, nausée, brouillard visuel... La crise est de durée variable, quelques minutes à quelques heures. Elle peut être unique ou se répéter

De ce fait, l’anxiété est une entité clinique regroupant des manifestations n’appartenant pas à la même famille :

Les phobies quand elles se cristallisent sur un objet précis (avion, araignée…)

Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) se manifestant par des rituels irrationnels (porte fermée, gaz éteint…)

Le trouble anxieux généralisé (TAG) quand il  envahit chaque seconde de l’existence

Le stress post-traumatiques auxquels sont confrontées les victimes d’accident, d’attentat…

L’anxiété peut-être donc simultanément une pathologie nécessitant un traitement, un tempérament et une façon d’être au monde, selon Christophe André psychiatre-psychothérapeute, précisant qu’au-delà de son caractère invalidant, elle n’est qu’une exagération extrême de l’état de vigilance qui a permis et permet à notre espèce de survivre aux dangers qui nous guettent.

Tout être humain a éprouvé un jour des sentiments d’anxiété. Seulement à partir d’un certain seuil de tension, le système nerveux s’affole.

 En clair, si l'anxiété se forme dans la tête, elle relève d'avantage d'un processus psychique et envahit le corps sous forme d’angoisse (ex la spasmophilie s’exprimant par des malaises, des évanouissements ou l’hypocondrie : la personne croit qu’elle est atteinte d’une maladie grave.

Il est nécessaire de  différencier l'état anxieux de la personnalité anxieuse :

·       L'état anxieux est transitoire, son intensité et sa durée sont en fonction de son origine, qu'elle soit environnementale ou endogène.

·       La personnalité anxieuse ou l'anxiété-trait est une disposition quasi permanente. L'anxieux a tendance à percevoir le monde comme menaçant, vulnérable au stress, il présente des réactions anxieuses plus intenses et plus fréquentes que la moyenne.

·       Les manifestations somatiques sont très courantes et donnent souvent lieu à des consultations chez le médecin pour les motifs suivants:

o   palpitations

o   manifestations respiratoires

o   troubles digestifs

o   migraines

o   douleurs abdominales

o   lombalgies

o   sensation d'instabilité en marchant

o   bourdonnement d'oreille

o   fatigue

o   insomnies

o   Sensation de compression ou d’oppression

  • Sensation d’étouffement avec des difficultés respiratoires – apnées

  • Impression de boules bloquées dans la gorge, dans l’estomac…

  • Transpiration

·       Une crise d’angoisse ou attaque de panique est un épisode transitoire de sensations de peur (anxiété) et d’inconfort. Alors, cela peut être plus ou moins intenses, surgir brutalement et pouvant durer de quelques minutes à plusieurs heures. Les symptômes physiques peuvent comporter des sueurs, des palpitations. Ou encore une impression d’étouffer (dyspnée), des douleurs à la poitrine, des nausées, des picotements (paresthésie). Autrement dit, la sensation de perdre tout contrôle. Ces symptômes sont associés à des sensations de perte de contrôle ou de danger imminent sans lien avec la réalité.

Comment reconnaître une crise d’angoisse (ou crise de panique)?

La crise d’angoisse est manifestation émotionnelle intense. Lorsque vous vivez une crise d’angoisse, vous ressentez une bouffée d’émotion, d’oppression et peut-être de panique que vous ne parvenez pas à contrôler. Voici les différents symptômes :

·       Émotion de peur et d’angoisse intense

·       Ces émotions n’ont pas forcément d’objet (Ce n’est donc pas forcément la peur de quelque chose)

·       Sensation d’oppression dans la poitrine, du mal à respirer

·       Bouffées de chaleur ou bien frissons et picotements

·       Violents mots de tête

·       Peur de la mort

·       Ces crises d’angoisses peuvent se manifester à tous moments sans prévenir : au travail, devant l’ordinateur, au milieu de la nuit…

Mais de quoi parle-ton ?
La crise d'angoisse se manifeste par l'apparition brutale et souvent inopinée d'un certain nombre de symptômes intenses :
- sensation d'une tension qui monte subitement (du ventre vers le thorax ou du thorax vers la gorge)
- oppression thoracique, difficultés à respirer
- tétanie
- accélération de la fréquence cardiaque
- chaleur, sueurs
- sensation d'être vidé, peur de tomber ou de faire un malaise
- peur panique diffuse, voire conviction que l'on va mourir...

L'apport de la sophrologie

Ainsi, la sophrologie est recommandée par de nombreux médecins comme une méthode naturelle et alternative aux médicaments pour lutter contre l’angoisse. C’est une approche concrète et douce, destinée à apprendre des gestes respiratoires et des comportements qui vont considérablement apaiser la vie quotidienne.

Depuis quelque temps, les consultations en sophrologie se multiplient pour des patients souffrant de crises d'angoisse. Également appelées "attaques de panique", ces crises sont aussi désagréables que dérangeantes, sans pourtant contenir de facteurs de gravité. La survenue d'une crise d'angoisse doit néanmoins susciter en premier lieu une consultation médicale pour éliminer toute cause biologique ou physiologique. Ceci fait, il n'est pas rare que le médecin conseille la sophrologie à son patient, pour apprendre à gérer ses crises et le stress pré- ou post-crise .
Pour suivre depuis plusieurs années des personnes qui ont connu des attaques de panique, je confirme que l'on dispose avec la sophrologie d'un attirail tout à fait intéressant, et efficace à terme.

 Une crise d’angoisse génère des tensions : comment apaiser les tensions musculaires, comment se détendre grâce à cet exercice respiratoire, comment apprendre à bien respirer pour apaiser ces crispations, cette boule dans la gorge, le ventre qui serre, la boule dans le ventre ou les brulures à l’estomac, le cœur qui bat vite, la tachycardie qui accompagne l’angoisse, l’impression de ne plus pour voir respirer ; et puis c’est lorsque que l’on est calme et qu’on prend un peu de distance que l’on trouve les solutions les plus performantes pour résoudre une difficulté.

Si l’anxiété s’inscrit dans le mental, l’angoisse, elle, s’inscrit dans le corps

Leurs différences sont subtiles…

On parle « d’anxiété » et de « crise d’angoisse ». De là à dire que l’autre est le symptôme de l’une…

L’anxiété et l’angoisse se camouflent en émotions. Comme les émotions, elles ont donc une utilité pour nous aider à comprendre le monde dans lequel nous évoluons avec cette différence majeure qu’elles tentent de masquer les émotions véritables (peur, colère, tristesse…).

Une fois identifiées, l’angoisse et l’anxiété peuvent apporter des réponses sur ce que nous tentons de nous cacher.
La sophrologie offre des outils qui permettent d’identifier et de comprendre ses états émotionnels et leurs dysfonctionnements pour pouvoir en prendre soin.

Son empreinte est généralement profonde et très diffuse. Il est difficile d’en donner la cause précise. Elle peut parfois être ou devenir pathologique.
Elle se définit  « comme une émotion vague», un malaise sous-jacent,  qui perdure dans le temps et altère la concentration et la vision de la réalité.
Quand l’anxiété devient chronique, elle nécessite une prise en charge psychologique. Toutefois, cela n’exclut pas une prise en charge sophrologique, bien au contraire !

En passant par le corps, la sophrologie vient alors en soutien de la thérapie et accompagne la recherche et l’émergence de sa (ses) cause(s).

L’angoisse « ressemble » à une émotion plus ponctuelle

Parfois même, plus fugace et mieux inscrite dans des temps courts, l’angoisse connaît une ou des causes précises qui sont en l’occurrence occultées par le mental mais vécues par le corps.

Elle est généralement considérée comme une forme paroxystique de l’anxiété. Elle passe par le corps, le système neurologique,  et peut mener jusqu’à la tétanie.

Sa prise en charge peut se faire grâce à la sophrologie en agissant en profondeur sur le système nerveux, pour apprendre à l’apaiser.

La plupart des crises d'angoisse se développent à partir d'un épisode inaugural qui a créé un premier conditionnement magistral (choc, accident ou agression, panique en voiture ou dans les transports...). Dès lors que des critères identiques apparaissent, les symptômes se réveillent instantanément. Ceci rend la vie sociale difficile : impossibilité à se déplacer en voiture ou dans les transports en commun, incapacité à être dans un lieu où il y a du monde - ou du bruit...
Dans quelques cas, la crise d'angoisse devient généralisée (elle peut être la conséquence d'un stress qui s'est installé sur une longue période), et ses effets se manifestent en dehors de toute cause objective. L'individu qui est est victime se trouve "sensible à tout" - et de plus en plus sensible.

La crise d'angoisse génère des anticipations négatives, qui entretiennent et amplifient l'angoisse. C'est "le serpent qui se mord la queue".

Comme décrit précédemment, l'anxiété et les angoisses sont des ressentis plus ou moins envahissants. Du fait de son approche psycho-corporelle, la sophrologie est une bonne indication pour apaiser ces symptômes.

Dans un premier temps, elle permet de renouer avec son corps et ses sensations sur un mode positif, alors que l'anxiété et l'angoisse suscitent toujours des sensations corporelles négatives. C'est par un travail en relaxation dynamique que ce lien au corps peut dans un premier se reconstruire sur un autre mode. Il s'agira d'apprendre à découvrir des exercices susceptibles d'apporter un premier relâchement et un premier soulagement.

Dans un second temps, les sophronisations vous permettront d'appréhender peu à peu une sensation de lâcher prise bénéfique. Cette expérience peut s'avérer rassurante car elle permet de constater qu'en cas de relâchement, et donc lorsque la vigilance baisse, il ne vous arrive rien. Bien entendu, il s'agit de répéter ces sophronisations plusieurs fois afin que votre corps et votre cerveau s'habituent à ce principe.

Troisièmement, des exercices de visualisation vous aideront à appréhender plus positivement les situations anxiogènes. Ils permettent de se projeter dans la réalité avec un point de vue favorisant le calme et ainsi de prendre le contrepied des anticipations négatives habituelles chez le sujet anxieux.

Enfin, les temps de dialogue avec le sophrologue permettront de dédramatiser certaines situations anxiogènes et également de rationaliser leur anticipation. Ils aideront également à affirmer ses ressentis positifs ce qui viendra peu à peu diluer l'angoisse.

L'ensemble de ces principes permettront à chacun de se constituer une boîte à outils faite d'exercices de respiration, de relaxation dynamique, d'images mentales sur lesquels vous appuyer lorsque l'anxiété refera surface ou lorsqu'une crise d'angoisse apparaîtra. Ces outils vous permettront de réguler d'avantage ces tensions internes.

Pourquoi la sophrologie ?
La prise en charge des attaques de panique avec la sophrologie nécessite d'abord un interrogatoire précis de la personne qui consulte, pour isoler les critères significatifs, liés à son histoire et à sa personnalité.
Les séances de sophrologie vont être ciblées, pour que le sophrologue dote son patient de techniques qui vont l'aider à gérer ses crises :
- repérer les prémisses et éviter que la pression monte trop vite
- atténuer les symptômes qui se mettent en place
- canaliser les peurs et les anticipations
- reprendre confiance en soi...

Il est parfois utile de faire un travail spécifique sur l'épisode inuagural, ou l'élement déclencheur, dans le cadre de séances d'hypnose.

De manière assez rapide (au bout de 3 à 7 séances), on commence à voir apparaître une atténuation de la puissance des crises, puis un espacement de leur survenue. La période entre deux crises s'allonge de plus en plus. Et s'il n'est jamais possible de les faire disparaître complètement (pas plus qu'un médecin ne peut garantir à son patient quil n'attrappera plus jamais le grippe), il devient facile de les aborder sereinement pour les faire passer rapidement. Les personnes qui connaissent bien leurs déclencheurs peuvent même agir en amont de certains événements ou situations, de manière préventive. Les événements potentiellement anxiogènes  

Toutefois la sophrologie n’est pas un outil magique qui soulage tout ; je vous encourage vraiment à solliciter l’avis de votre médecin traitant, il vous connait bien et saura vous conseiller d’autres techniques pour vous aider à prendre en charge les angoisses ; discutez avec lui.  

Si cet exercice apaise les tensions du corps et de l’esprit qui accompagnent le stress et les angoisses, je vous suggère de poursuivre ce travail en consultant un sophrologue qui en individuel pourra vous aider à renforcer votre lutte contre le stress. Ce sophrologue pourra être un psychologue. 

Exercice de sophrologie pour évacuer la tension

L’exercice de sophro déplacement du négatif peut être fait n’importe où. Vous devez simplement croiser les doigts puis amener les mains derrière le cou. Prenez une grande inspiration, gardez bien l’air dans les poumons contractez vos muscles puis soufflez pour déplacer tout le négatif en dehors la panique.

Calmez votre respiration pour évacuer le stress

Lorsque vous calmez votre respiration, vous calmerez votre rythme cardiaque. Vous vous sentirez plus détendu. Vous allez tout simplement inspirez calmement par le nez et cherchez à expirer comme dans une paille, comme si vous deviez sifflez avec une paille en serrant les lèvres. Ceci est fait dans le but d’étirer le souffle car c’est à l’expiration qu’on évacue le plus de tensions, l’angoisse, la panique et l’anxiété.

Comment calmer la crise d’angoisse

Prenez une grande inspiration puis soufflez comme dans une paille. Le fait de souffler profondément vous aidera à retirer les tensions qui se trouvent à l’intérieur. L’évacuation du stress par le souffle vous permettra de calmer votre respiration et de calmer les tensions.
Refaites cet exercice plusieurs fois pour sentir une paix intérieure. En calmant la respiration, vous calmez l’esprit et le corps.

Gardez le calme en soi

Faites une rétention d’air dans les poumons pour que l’exercice de sophrologie donne son effet. En retenant votre respiration et en comptant jusqu’à 5 vous allez réguler votre respiration pour la maitriser et pour vous détendre.
En expirant, vous refaites la même expérience en soufflant comme dans une paille. Refaites cet exercice en respirant calmement. Cette respiration régule tout le corps et détend.

Comment gérer une crise d’angoisse et la traverser?

 La meilleure façon de remédier aux crises d’angoisse reste le travail de fond, mais nous y reviendrons juste en-dessous. Néanmoins, lorsque vous en traversez une, il est important d’avoir des techniques pour la gérer. Prévenir les crises est important, tout comme savoir les guérir lorsqu’elles font surface. À compter du moment où vous savez les guérir et vous apaiser durant une crise, c’est une grosse étape de franchie car vous devenez maître (plus ou moins) de cette situation. La crise d’en retrouve atténuée car vous savez ce qui vous arrive, que cela n’est que passager, et que vous pouvez l’estomper.
Les meilleurs méthodes pour en venir à bout sont pour moi la détente et la contraction du corps, ainsi que des exercices de respiration et de visualisation.

 Refusez la panique grâce à notre sophrologue

La colère et le stress ne vont plus vous maîtriser. Cette exercice de sophrologie vous aider à maîtriser votre stress toujours en passant par la respiration. Vous pourrez dire non pour vos crises d’angoisse.
Vous allez inspirer et en retenant l’inspiration, vous allez dire non à votre crise d’angoisse doucement avec la tête. Tout en gardant l’air dans votre corps vous allez tourner la tête de gauche à droite pour dire non cette nouvelle crise d’angoisse. Vous êtes maître de votre corps. Le mouvement de la tête doit être très lent.
Soufflez enfin pour remettre votre tête au centre. Respirez calmement pour dire non à cette crise d’angoisse. Les mouvements lents et décomposées vous aideront à canaliser le stress et dire non au doute, au manque de confiance en soi puis retourner au centre pour souffler.
La respiration est importante pour notre sophrologue. Ces exercices de sophrologie ont pour but de réguler votre tensions pour aider la circulation sanguine à mieux circuler dans le corps afin d’apaiser les tensions et d’éviter dans une nouvelle crise d’angoisse.
Notre sophrologue vous conseille de faire ces exercices de sophrologie aussi souvent que possible pour éviter d’avoir des crises d’angoisse à répétition.

Pratiqué en position de relaxation allongée, le Training Autogène de Schultz fait partie des méthodes fondatrices de la sophrologie. C’est une technique simple et très efficace. Le Training Autogène de Schultz apprend à se relaxer dans n’importe quelle circonstance et à enrayer rapidement son stress. Ainsi, l’important réside dans l’apprentissage de la détente corporelle, passant par une respiration plus ample et plus calme, permettant l’apaisement du système nerveux.

Y a-t-il une solution durable aux crises d’angoisse?

 Savoir traverser une crise et la gérer, c’est bien. Mais être en paix et ne plus les provoquer, c’est encore mieux. Toute chose a une cause et des effets. Nous venons de voir quels étaient les effets de la crise d’angoisse, mais quelle est sa cause?

Et bien la cause change selon la personne. Certains d’entre nous luttent contre eux-mêmes et refusent de prendre une décision libératrice depuis longtemps, tandis que d’autres ont fui leurs peurs depuis tellement longtemps qu’il leur est dur de remonter le fil.

Si vous souhaitez faire un travail de fond, je vous conseille de voir un thérapeute qui va vous aider à régler cela. Je suis sophrologue de métier et je trouve que la sophrologie est une méthode efficace et bienveillante qui peut vous accompagner dans ce parcours. La sophrologie peut vous fournir des outils pour gérer une crise ainsi qu’effectuer le travail de fond pour en guérir la cause.

SOPHROLOGIE ET ACOUPHENES

La sophrologie dans le cadre des protocoles  de gestion des acouphènes

Qu’est-ce que l’acouphène ?

Les acouphènes désignent des bruits entendus de manière continue ou intermittente dans « l’oreille » ou « dans la tête » sans source dans l’environnement. C’est le système auditif lui-même qui génère des sifflements ou bourdonnements. Ce phénomène commun affecte 15% de la population à un moment ou à un autre d’une vie. Dans 95% des cas, ils sont sans gravité mais nécessite la consultation d’un médecin ou médecin ORL.

Dans la majorité des cas, les acouphènes sont dits « subjectifs » c’est-à-dire perçus que par le patient.

Les acouphènes peuvent s’accompagner d’hyperacousie, c’est-à-dire  d’une intolérance aux bruits.

Les origines de l’acouphène

Les causes sont multiples : une maladie de l’oreille, un traumatisme sonore mais également un choc émotionnel. Parfois ils peuvent être purement mécaniques.

Dans 90% des cas, il s’agit de lésions des cellules sensorielles de l’oreille interne. Ces lésions sont elles-mêmes le résultat de traumatisme, d’une infection, troubles hormonaux, métaboliques, vasculaires ou d’hypertension.

Lorsque les origines sont plutôt mécaniques, il s’agit de bouchon de cérumen dans le canal auditif externe ou le blocage d’un osselet de l’oreille moyenne pouvant  gêner la transmission de l’onde sonore à l’oreille interne.

Que faire quand un acouphène apparaît ?

L’acouphène  qu’il soit continu ou non s’avère être une gêne importante dans la vie quotidienne. Avec ce handicap invisible, les personne atteintes rencontrent des difficultés pour se concentrer, s’endormir, peuvent être conduites à l’isolement, souffrir d’anxiété voire de dépression.

La sophrologie et la gestion des acouphènes 

Définition de la sophrologie caycédienne : entraînement du corps et de l’esprit pour développer un mieux-être, une sérénité grâce à des techniques de relaxation-activation du corps-esprit favorisant l’observation, la perception corporelle, la prise de conscience  afin de renforcer les structures (peau-muscles-os-organes) et les attitudes positives de l’être.

Dans ce cadre, la sophrologie est souvent utilisée pour aider les personnes acouphéniques à mieux supporter les sifflements, bourdonnements ou autres sons entendus de manière passagère ou permanente. Ce sont ces symptômes ORL appelés acouphènes. Par leur aspect intrusif, les acouphènes provoquent une souffrance psychologique.

Par des exercices de respiration, de relaxation dynamique et de visualisation mentale, la personne acouphénique est accompagnée »défocaliser », à déporter son attention de l’acouphène, ignorer cette perception parasite grâce à un processus de mise à distance.

Dans certains cas les troubles associés (hypertension, troubles métaboliques, hormonaux, stress, anxiété, dépression) peuvent avoir des  conséquences plus néfastes que  l’intrusion sonore elle-même. Ils doivent traités. Dans ces cas, la sophrologie peut aider à mieux vivre les troubles de l’audition en agissant sur les composantes sensorielles et émotionnelles.

 

Conclusion

Pour apprendre à gérer les acouphènes et apprendre à mieux vivre avec eux, il est important de leur accorder le moins d’importance possible et de vous protéger des expositions sonores excessives. Après un diagnostic médical, votre médecin peut vous conseiller de faire des séances de sophrologie pour vous accompagner à continuer à vivre une vie normale ( gestion du stress, anxiété… ).

SOPHROLOGIE – ADOLESCENT-EXAMENS

 Accompagner les jeunes avec la sophrologie

Les jeunes face au stress au quotidien

Dans leur quotidien, les enfants, adolescents ne sont pas épargnés par le stress. Avec leur rôle de protecteur, les parents ont souvent tendance à penser que le monde de leur enfant est toujours joyeux et sans danger. Or même les jeunes ont leurs soucis et peuvent ressentir du stress à certains niveaux.

Le stress : définition

Le stress est une réaction de notre corps suite à un événement et sa bonne gestion dépend de notre capacité à avoir la bonne attitude pendant cet événement.

Les sources de stress

Le stress provient le plus souvent de sources extérieures (pression parentale, les amis ou l'école, surcroît d’activité extra-scolaires), mais il peut aussi être de sources internes. Les jeunes se mettent aussi peuvent se mettre beaucoup de pression sur les épaules parce qu'il y a souvent un décalage entre la situation telle qu'elle est et la situation telle qu’ils la perçoivent et peuvent ainsi se sentir dépasser par les évènements.

Le stress lié aux changements ou aux événements importants au cours d'une vie peuvent troubler ou mettre en colère les jeunes.

Le déménagement : les jeunes qui déménagent de leur maison quittent la communauté, l'école et le groupe d'amis auprès desquels il se sentait bien. Cela peut déclencher chez eux une sensation d'insécurité, de confusion et d'anxiété.

Enfin, des facteurs aggravants comme la maladie, la mort d'un proche ou un divorce peut causer du stress chez le jeune. Lorsqu'un de ces facteurs s'ajoute aux petits stress quotidiens, le sentiment d'anxiété devient plus fort. Cela peut-être une expérience difficile à vivre car leur système de protection originel (leur famille) se décompose et va connaître un changement.

Quels sont les symptômes du stress chez les jeunes?

Il n'est pas toujours facile de reconnaître les symptômes du stress chez les jeunes. Des changements de comportement à court terme comme des changements d'humeur, manque de concentration, troubles de la motricité, démotivation, somatisation diverses, des troubles du sommeil peuvent être des indicateurs de stress. Certains jeunes ressentent même les effets physiques du stress comme les maux d'estomac ou les maux de tête. D'autres ont des problèmes de concentration ou éprouvent des difficultés à faire leur devoir. Ils peuvent se mettre à mentir ou vouloir défier l'autorité, réagir de façon disproportionnée à de petits problèmes ou encore connaître une chute dans leurs notes et résultats scolaires.

Quelles sont les causes du stress chez les jeunes?

Le stress est une réaction physique, chimique et émotionnelle de notre corps à une situation excitante, troublante ou confuse. Les enfants de tout âge peuvent connaître le stress, mais la façon dont ils vont réagir va dépendre de leur âge, leur tempérament, et leur environnement familial.

Les jeunes connaissent deux types de stress. :

 Le premier est ce que l'on appelle le stress normatif, qui apparaît à chaque stade du développement du jeune. Apprendre à marcher, à parler pour les petits, se faire des amis sont des événements qui peuvent se révéler stressants pour les plus grands. Ce sont des formes de stress qui sont bénéfiques au jeune car elles vont l'aider à grandir et à devenir indépendant.

 

La sophrologie : pour un mieux-être au quotidien

Définition de la sophrologie caycédienne : entraînement du corps et de l’esprit pour développer un mieux-être, une sérénité grâce à des techniques de relaxation-activation du corps et de l’esprit. Elle a pour objectif de renforcer des attitudes positives de l’être au quotidien. Elle participe activement à la gestion du stress et des émotions.

 

Pour qui, pour quoi ?

La sophrologie peut s’avérer très utile à n’importe quel âge et ses applications sont diverses : santé, sport et mieux-être.

Pendant les années apprentissage scolaire, de formation professionnelle et études supérieures, elle peut aider les jeunes à renforcer leur confiance en soi, à augmenter leurs capacités de concentration, mémorisation, gestion du temps et de ses responsabilités, gérer leur stress (lors d’un examen ou compétition sportive, autres épreuves), déployer les attitudes positives face aux difficultés, à renforcer leur motivation face au futur, harmoniser leur relation avec leur entourage.

L’entraînement : le temps de pratique, les techniques, les effets positifs

Un entraînement de 10 à 20 min par jour suffit. Avec un rythme d’entraînement régulier, les bienfaits sont perceptibles dès les premières semaines. Chaque technique à son propre objectif. Le choix de la pratique est libre en fonction des besoins du moment, des objectifs.

Conclusion

L’objectif des entraînements sophrologiques est d’accompagner les jeunes au quotidien et de façon autonome  à développer sérénité, leurs propres capacités et attitudes positives et de mieux-être dans leur vie personnelle et dans le contexte des études.

Ils favorisent le développement de la perception positive du corps, de l’esprit, des états émotionnels et des valeurs personnelles.